Une célébration du cinéma d'auteur
La capitale marocaine a donné le coup d'envoi, le 8 novembre, de la 30ᵉ édition du Festival International du Film d'Auteur de Rabat, un événement phare de la scène cinématographique tant au Maroc qu'à l'international. Cette édition met l'accent sur la création indépendante, la diversité esthétique et favorise les échanges entre cinéastes, critiques et spectateurs, tout en proposant des avant-premières et des hommages à des figures emblématiques du cinéma mondial.
Le festival se déroule jusqu'au 14 novembre et se distingue comme l'un des plus anciens événements dédiés au cinéma d'auteur dans la région, rassemblant plus de 150 films provenant des quatre coins du monde, dont plusieurs premières mondiales. Cette édition vise à établir la création comme un espace de rencontre, de réflexion et de partage des sensibilités artistiques. Le Sultanat d'Oman est à l'honneur cette année avec une programmation spécifique qui permet de découvrir de nouvelles voix cinématographiques issues de la région du Golfe.
Le festival se déroule jusqu'au 14 novembre et se distingue comme l'un des plus anciens événements dédiés au cinéma d'auteur dans la région, rassemblant plus de 150 films provenant des quatre coins du monde, dont plusieurs premières mondiales. Cette édition vise à établir la création comme un espace de rencontre, de réflexion et de partage des sensibilités artistiques. Le Sultanat d'Oman est à l'honneur cette année avec une programmation spécifique qui permet de découvrir de nouvelles voix cinématographiques issues de la région du Golfe.
Hommages aux figures éminentes du cinéma
Le festival rend également hommage à plusieurs personnalités du monde artistique, incluant la comédienne égyptienne Leïla Eloui, la réalisatrice burkinabée Apolline Traoré, le dramaturge libanais Georges Khabbaz, et Nourredine Affaya, reconnu pour sa contribution à la culture nationale.
La compétition officielle, ouverte aux courts et longs métrages, a été inaugurée par la projection mondiale du film italien "Quazi Grazia" de Pietro Marcello. Une sélection africaine met en avant la richesse des récits et des formes qui traversent les cinémas du continent, affirmant l'importance du festival comme plateforme d'expression et de diffusion artistique.
Le jury international est présidé par l'acteur, réalisateur et scénariste français Jean-Claude Barny, entouré de professionnels tels que le producteur marocain Karim Debbagh et la réalisatrice burkinabée Maïmouna N’Diaye. De plus, une nouvelle compétition dédiée au film documentaire enrichit le festival, sous la présidence de la réalisatrice marocaine Asmae El Moudir.
Parmi les projections notables de la semaine, le documentaire "Traces nomades : parcours de l’artiste et chercheur en esthétique Brahim El Haissan", réalisé par Oulaya Touir, sera présenté le 12 novembre à 16 h. Ce film retrace le parcours artistique de Brahim El Haissan, explorant son œuvre inspirée des mystères du désert, avec des interventions de critiques enrichissant la discussion autour du film.
La compétition officielle, ouverte aux courts et longs métrages, a été inaugurée par la projection mondiale du film italien "Quazi Grazia" de Pietro Marcello. Une sélection africaine met en avant la richesse des récits et des formes qui traversent les cinémas du continent, affirmant l'importance du festival comme plateforme d'expression et de diffusion artistique.
Le jury international est présidé par l'acteur, réalisateur et scénariste français Jean-Claude Barny, entouré de professionnels tels que le producteur marocain Karim Debbagh et la réalisatrice burkinabée Maïmouna N’Diaye. De plus, une nouvelle compétition dédiée au film documentaire enrichit le festival, sous la présidence de la réalisatrice marocaine Asmae El Moudir.
Parmi les projections notables de la semaine, le documentaire "Traces nomades : parcours de l’artiste et chercheur en esthétique Brahim El Haissan", réalisé par Oulaya Touir, sera présenté le 12 novembre à 16 h. Ce film retrace le parcours artistique de Brahim El Haissan, explorant son œuvre inspirée des mystères du désert, avec des interventions de critiques enrichissant la discussion autour du film.
Rabat, capitale culturelle en plein essor
Le festival accorde aussi une attention particulière au jeune public, proposant des films en arabe et en français. Pour la première fois, un marché du film est organisé, permettant aux professionnels, réalisateurs et producteurs de se rencontrer et d'échanger. Des ateliers, conférences et masterclasses complètent le programme, confirmant l'ambition du festival comme espace de formation et de transmission.
En célébrant trois décennies de cinéma d'auteur, Rabat réaffirme son rôle de capitale culturelle, carrefour d'imaginaires et de sensibilités, où le cinéma devient un véritable espace de dialogue et de réflexion sur le monde contemporain.
En célébrant trois décennies de cinéma d'auteur, Rabat réaffirme son rôle de capitale culturelle, carrefour d'imaginaires et de sensibilités, où le cinéma devient un véritable espace de dialogue et de réflexion sur le monde contemporain.