SM Mohammed VI, la Monarchie et le peuple : une réalité que Le Monde ne comprendra jamais


Rédigé par le Mardi 26 Aout 2025

Le ridicule tue. C’est un adage bien connu en politique… sauf, semble-t-il, pour certains journalistes de la rédaction du quotidien Le Monde. À force d’acharnement stérile, ils tentent désespérément de sauver leur vieux fond de commerce gauchiste, pourtant enterré depuis longtemps par l’histoire. Résultat : un discours usé, déconnecté, qui sonne plus comme une posture idéologique que comme un travail d’information.



Il y a des fautes journalistiques qu’on pardonne parce qu’elles relèvent de l’inattention. Et puis il y a celles qui révèlent un biais plus profond, presque idéologique. L’article publié par Le Monde le 25 août en est un exemple éclatant. Sous couvert d’« analyse », le quotidien français a tenté de faire croire à une prétendue fragilité de l’institution monarchique marocaine en jouant sur le terrain sensible de la santé de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

Un procédé classique : suggérer plus qu’affirmer, instiller le doute en feignant l’objectivité. Mais au-delà de l’élégance apparente, le message est limpide : présenter le Maroc comme un pays en suspens, privé de gouvernail, livré à un vide de pouvoir imaginaire.

​Transparence marocaine, amnésie française

Il est pourtant un fait incontestable : le Maroc n’a jamais caché l’état de santé de son souverain. Chaque fois que Sa Majesté a traversé une épreuve médicale, le Palais a communiqué avec clarté. On se souvient des bulletins officiels du médecin personnel, des images de Sa Majesté entouré de sa famille après une opération, de ses apparitions publiques assumées, parfois avec une canne. Ce souci de transparence, rare dans le monde arabe et même au-delà, est précisément ce qui inspire confiance aux Marocains.

Et c’est là que Le Monde trébuche dans une contradiction flagrante. Car en France, les dirigeants ont longtemps gouverné dans l’ombre de maladies graves. François Mitterrand a dirigé deux septennats avec un cancer tenu secret. Georges Pompidou a gouverné jusqu’à son dernier souffle sans révéler l’étendue de son mal. Pourtant, jamais Le Monde n’a parlé de « vide de pouvoir ». Deux poids, deux mesures.

​Leçon d’histoire mal apprise

L’histoire mondiale regorge d’exemples qui balayent l’argumentaire du quotidien français. Roosevelt a vaincu le nazisme depuis son fauteuil roulant. Churchill a tenu tête à Hitler malgré ses crises de santé. Au Maroc même, en pleine bataille de Oued al-Makhazine en 1578, le sultan Abd al-Malik, malade, rend l’âme… mais le royaume triomphe et Ahmed al-Mansour devient le Doré. La continuité du pouvoir n’a jamais vacillé.

Alors pourquoi cette insistance suspecte à questionner aujourd’hui la capacité de SM Roi Mohammed VI à gouverner ?

Pourtant, une simple investigation menée avec un minimum d’objectivité suffirait à démontrer l’évidence : les domaines régaliens du Royaume militaire, sécuritaire, diplomatique et spirituel fonctionnent en gouvernance opérationnelle et en temps réel. Les décisions stratégiques se prennent, les institutions agissent, et le pays avance. Le prétendu « vide » que ce journaliste de Le Monde croit voir n’existe que dans son imagination, ou plutôt dans le prisme biaisé d’un regard qui cherche à fabriquer une faille là où règne la continuité.

Rien de neuf sous le soleil : la rédaction de ce quotidien a toujours parié contre la monarchie marocaine, et elle a toujours perdu son pari. Car elle n’a jamais compris, ni admis, la nature singulière du lien qui unit le peuple marocain à son Roi. Ce lien n’est pas une formalité institutionnelle, encore moins une fiction médiatique : c’est une réalité historique, spirituelle et affective, forgée par des siècles de confiance réciproque et de fidélité partagée. Et c’est précisément ce que Le Monde ne parvient jamais à saisir, enfermé dans ses grilles de lecture réductrices et hors-sol.

Quand l’émergence dérange

Alors pourquoi ? et pourquoi maintenant ?

Parce que derrière les mots policés se cache une gêne plus profonde : le Maroc avance, avance bien sous le leadership de SM le Roi de tous les Marocains.

Le Royaume s’impose comme puissance régionale, réaffirme son africanité, sécurise ses positions diplomatiques sur le Sahara Marocain, et projette une stabilité rare dans un monde fracturé. Cette trajectoire dérange ceux qui peinent à admettre qu’un pays du Sud, jadis relégué à la périphérie de l’Histoire, devienne aujourd’hui un acteur qui compte.

À Paris, certains journalistes, nourris de vieux réflexes postcoloniaux, cherchent encore à infantiliser le Maroc, à l’expliquer à sa place, à projeter leurs propres fragilités sur son avenir.

C’est une stratégie d’affaiblissement symbolique : saper la confiance, fissurer l’image de solidité entre le Trône et le peuple.

​Le Monde… à l’envers

Ce que Le Monde oublie, c’est que cette relation de confiance est la véritable force du Maroc. Elle n’est pas écrite dans les colonnes d’un journal parisien, mais gravée dans le pacte de la bay’a qui unit SM le Roi à son peuple depuis des siècles.

Et si le quotidien croit encore pouvoir dicter des leçons de démocratie, il ferait mieux de balayer devant sa porte. Car le vrai « vide » n’est pas à Rabat, il est dans la crédibilité d’une presse qui confond critique légitime et insinuation perfide.

Le Maroc n’a pas besoin de prouver son unité à des éditorialistes en mal de sensation.

Chaque réforme, chaque projet, chaque victoire diplomatique est déjà une réponse éclatante. Le Maroc avance. Et plus il avance, plus ses détracteurs s’agitent. C’est, finalement, la meilleure preuve de son succès.

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Mardi 26 Aout 2025
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