Une crise sans précédent dans les pharmacies marocaines
Nous sommes en 2025, et pourtant, des milliers de Marocains ne peuvent plus accéder à des médicaments essentiels. Comment en sommes-nous arrivés là ?
Je ne suis pas médecin, ni expert en santé publique. Je suis juste un citoyen marocain, comme vous, qui paie ses taxes, respecte ses obligations, et espère, en retour, un minimum de garanties : un système de santé qui fonctionne. Mais aujourd’hui, je suis en colère, profondément indigné.
Pourquoi ? Parce que dans ce pays, on peut se retrouver sans insuline pour un enfant diabétique, sans antibiotiques pour une infection, ou sans traitement pour l’hypertension. Oui, vous avez bien lu : plus de 600 médicaments sont actuellement introuvables dans les pharmacies marocaines.
La santé est un droit fondamental, garanti par notre Constitution. Pourtant, cette pénurie massive de médicaments prouve une chose : ce droit est en train de s’effondrer sous nos yeux. Et ce ne sont pas que des chiffres sur un rapport. Ce sont des vies humaines.
Imaginez un père de famille qui fait la tournée des pharmacies pour trouver de l’insuline, en vain. Une mère qui ne peut pas acheter un simple antibiotique pour son enfant malade. Comment expliquer à ces gens que, malgré les taxes qu’ils payent, malgré leurs efforts, ils doivent se débrouiller seuls face à une crise qui dépasse leur compréhension ?
On nous parle de problèmes d’importation, de hausse des coûts des matières premières, d’une logistique défaillante. Mais ce que je vois, c’est surtout un manque flagrant de transparence et d’anticipation. Où sont les responsables ? Où sont les solutions ?
Le ministère de la Santé parle de "mesures urgentes". Mais soyons honnêtes : combien de fois avons-nous entendu ces mots sans voir de résultats concrets ? Pendant ce temps, les citoyens, eux, continuent de souffrir.
Cette crise n’est pas un accident. Elle est le résultat d’un système de santé qui accumule les failles depuis des années. Les hôpitaux publics débordent, le personnel médical est sous pression, et maintenant, même les pharmacies ne peuvent plus garantir l’accès aux médicaments essentiels.
Et pourtant, nous sommes nombreux à réclamer des réformes depuis des années. Mais nos appels restent lettre morte. Est-ce que la santé des Marocains est devenue une variable d’ajustement budgétaire ?
Je ne suis pas seulement en colère. Je suis inquiet. Inquiet pour nos parents, pour nos enfants, pour nous-mêmes. Si cette crise ne sert pas de signal d’alarme, alors quoi ? Allons-nous attendre que la situation empire encore ?
Je lance ici un appel : aux autorités, aux associations, aux médias, à tous les citoyens. Ne restons pas silencieux face à cette injustice. Exigeons des réponses, des actions concrètes, et surtout, un respect réel de notre droit à la santé.
Parce qu’au final, ce n’est pas seulement une question de médicaments. C’est une question de dignité.
Et vous, qu’en pensez-vous ? Combien de temps allons-nous accepter de subir en silence ?
Je ne suis pas médecin, ni expert en santé publique. Je suis juste un citoyen marocain, comme vous, qui paie ses taxes, respecte ses obligations, et espère, en retour, un minimum de garanties : un système de santé qui fonctionne. Mais aujourd’hui, je suis en colère, profondément indigné.
Pourquoi ? Parce que dans ce pays, on peut se retrouver sans insuline pour un enfant diabétique, sans antibiotiques pour une infection, ou sans traitement pour l’hypertension. Oui, vous avez bien lu : plus de 600 médicaments sont actuellement introuvables dans les pharmacies marocaines.
La santé est un droit fondamental, garanti par notre Constitution. Pourtant, cette pénurie massive de médicaments prouve une chose : ce droit est en train de s’effondrer sous nos yeux. Et ce ne sont pas que des chiffres sur un rapport. Ce sont des vies humaines.
Imaginez un père de famille qui fait la tournée des pharmacies pour trouver de l’insuline, en vain. Une mère qui ne peut pas acheter un simple antibiotique pour son enfant malade. Comment expliquer à ces gens que, malgré les taxes qu’ils payent, malgré leurs efforts, ils doivent se débrouiller seuls face à une crise qui dépasse leur compréhension ?
On nous parle de problèmes d’importation, de hausse des coûts des matières premières, d’une logistique défaillante. Mais ce que je vois, c’est surtout un manque flagrant de transparence et d’anticipation. Où sont les responsables ? Où sont les solutions ?
Le ministère de la Santé parle de "mesures urgentes". Mais soyons honnêtes : combien de fois avons-nous entendu ces mots sans voir de résultats concrets ? Pendant ce temps, les citoyens, eux, continuent de souffrir.
Cette crise n’est pas un accident. Elle est le résultat d’un système de santé qui accumule les failles depuis des années. Les hôpitaux publics débordent, le personnel médical est sous pression, et maintenant, même les pharmacies ne peuvent plus garantir l’accès aux médicaments essentiels.
Et pourtant, nous sommes nombreux à réclamer des réformes depuis des années. Mais nos appels restent lettre morte. Est-ce que la santé des Marocains est devenue une variable d’ajustement budgétaire ?
Je ne suis pas seulement en colère. Je suis inquiet. Inquiet pour nos parents, pour nos enfants, pour nous-mêmes. Si cette crise ne sert pas de signal d’alarme, alors quoi ? Allons-nous attendre que la situation empire encore ?
Je lance ici un appel : aux autorités, aux associations, aux médias, à tous les citoyens. Ne restons pas silencieux face à cette injustice. Exigeons des réponses, des actions concrètes, et surtout, un respect réel de notre droit à la santé.
Parce qu’au final, ce n’est pas seulement une question de médicaments. C’est une question de dignité.
Et vous, qu’en pensez-vous ? Combien de temps allons-nous accepter de subir en silence ?