Organisé par l’Université Internationale de Rabat (UIR), ce festival se donne pour mission de mettre en lumière le rôle central du livre dans la construction de la citoyenneté, tout en s’adaptant aux défis contemporains tels que l’intelligence artificielle et la digitalisation. Cet événement ne se limite pas à une simple célébration de la littérature, mais se positionne également comme une plateforme d’échange, de dialogue et de réflexion autour de la création intellectuelle.
Dans son discours inaugural, Farid El Asri, doyen du collège des sciences sociales de l’UIR, a souligné l’importance de cet espace comme lieu de convergence et d’inclusion. Le festival s’inscrit dans une démarche plus large, celle de Rabat, désignée "Capitale Mondiale du Livre" par l’UNESCO pour 2026. Cette reconnaissance internationale donne un élan supplémentaire à des initiatives comme le Kitab Connect Festival, qui ambitionne de devenir un rendez-vous incontournable sur la scène culturelle nationale et internationale.
Un des points forts de cet événement est son engagement en faveur du bilinguisme. Des ateliers en arabe et en français ont été organisés pour permettre à un public diversifié de participer activement. Cette approche bilingue reflète non seulement la richesse culturelle du Maroc, mais aussi une volonté d’ouverture sur le monde. En parallèle, une réflexion sur l’avenir des métiers de l’écrit a été amorcée. Farid El Asri a annoncé le lancement, prévu pour septembre 2025, d’un mastère exécutif dédié aux métiers de l’écriture, une initiative qui répond aux besoins croissants d’adaptation dans un secteur en pleine mutation.
Catherine Laulhère, membre du comité d’organisation, a insisté sur l’importance de réconcilier les jeunes avec la lecture. Pour ce faire, des activités participatives telles que des ateliers d’écriture créative et des discussions ouvertes ont été mises en place. Ces initiatives visent à transmettre le plaisir de lire tout en véhiculant des messages universels d’humanité, de paix et de solidarité.
S’étalant sur trois jours, le festival a accueilli des écrivains et poètes venus du monde entier. Avec des conférences, des tables rondes et des expositions au programme, il s’adresse aussi bien aux étudiants qu’à un public curieux de redécouvrir le monde des lettres. Ce premier succès laisse entrevoir un avenir prometteur pour ce festival, qui pourrait bien devenir un rendez-vous annuel majeur.
Dans son discours inaugural, Farid El Asri, doyen du collège des sciences sociales de l’UIR, a souligné l’importance de cet espace comme lieu de convergence et d’inclusion. Le festival s’inscrit dans une démarche plus large, celle de Rabat, désignée "Capitale Mondiale du Livre" par l’UNESCO pour 2026. Cette reconnaissance internationale donne un élan supplémentaire à des initiatives comme le Kitab Connect Festival, qui ambitionne de devenir un rendez-vous incontournable sur la scène culturelle nationale et internationale.
Un des points forts de cet événement est son engagement en faveur du bilinguisme. Des ateliers en arabe et en français ont été organisés pour permettre à un public diversifié de participer activement. Cette approche bilingue reflète non seulement la richesse culturelle du Maroc, mais aussi une volonté d’ouverture sur le monde. En parallèle, une réflexion sur l’avenir des métiers de l’écrit a été amorcée. Farid El Asri a annoncé le lancement, prévu pour septembre 2025, d’un mastère exécutif dédié aux métiers de l’écriture, une initiative qui répond aux besoins croissants d’adaptation dans un secteur en pleine mutation.
Catherine Laulhère, membre du comité d’organisation, a insisté sur l’importance de réconcilier les jeunes avec la lecture. Pour ce faire, des activités participatives telles que des ateliers d’écriture créative et des discussions ouvertes ont été mises en place. Ces initiatives visent à transmettre le plaisir de lire tout en véhiculant des messages universels d’humanité, de paix et de solidarité.
S’étalant sur trois jours, le festival a accueilli des écrivains et poètes venus du monde entier. Avec des conférences, des tables rondes et des expositions au programme, il s’adresse aussi bien aux étudiants qu’à un public curieux de redécouvrir le monde des lettres. Ce premier succès laisse entrevoir un avenir prometteur pour ce festival, qui pourrait bien devenir un rendez-vous annuel majeur.