Par Mohammed Yassir Mouline
Car dans le feuilleton du « pouvoir qui craque », deux versions s’affrontent avec le sérieux d’un théâtre d’ombres :
Version 1 : les généraux pyromanes
Le haut commandement aurait décidé, dans un soudain élan de créativité destructrice, de brûler les forêts du pays pour détourner l’attention d’un petit scandale… la libération forcée de Sansal, obtenue par une gifle diplomatique allemande… Une diversion à la “Tartuffe militarisé”… tu mets le feu à tout, tu cries au complot, et hop ! L’opinion se tourne vers la fumée pendant que tu tentes d’éteindre l’incendie politique sous la table…
Si cette version est vraie, alors l’Algérie n’est plus un État mais une succursale de gangsters avec casquette étoilée, prêts à sacrifier l’écosystème national pour sauver la peau d’une poignée de gradés ventrus… Un système « tout pour nous, rien pour le pays », qui brûlerait le désert pour réchauffer son fauteuil…
Version 2 : les ennemis venus de l’espace
Les incendies seraient l’œuvre de forces étrangères malveillantes, mystérieuses, invisibles, peut-être même intergalactiques… Dans ce cas, il faut admettre que les services de sécurité algériens « pourtant plus nombreux que les arbres qu’il reste » sont si dépassés qu’un groupe de saboteurs pourrait traverser le pays, allumer trois barils et repartir prendre un thé à la menthe… sans que personne ne remarque rien… Là, c’est pire !! Un État transformé en passoire, où les « cellules dormantes » semblent faire plus de nuits blanches que les ministres…
Dans les deux cas, tu choisis entre la trahison… et l’incompétence… Entre le feu volontaire… et le feu mal surveillé… Entre le régime pyromane… ou le régime somnolent… ainsi l’Algérie officielle joue toujours avec des flammes !!
Tebboune et Sansal… je t’insulte, moi non plus
Il y a quelques mois, le président Abdelmadjid Tebboune s’était transformé en critique littéraire, version caniveau, en qualifiant Sansal de « voleur bâtard inconnu de père et de mère »… Une insulte d’État, prononcée comme si la diplomatie algérienne était gérée depuis un café enfumé à Bab El Oued… Le crime de Sansal c’est d’avoir expliqué que certaines régions de l’Ouest algérien étaient historiquement marocaines… Sacrilège ! Hérésie ! Crime de lèse-discours officiel !
Mais voilà que l’orage s’inverse… le même président qui insultait l’écrivain avec la poésie d’un parpaing… est obligé de signer sa grâce… Pas par grandeur morale, attention ! Ce serait trop beau, mais parce que Steinmeier, président allemand, a claqué du doigt… Il a suffi d’un communiqué venu de Berlin pour que l’orgueil guerrier d’Alger fonde plus vite que ses forêts en août…
Et pour appuyer la demande, le président allemand a même rappelé à Tebboune sa carte de fidélité aux hôpitaux allemands… Un argument sanitaire très convaincant… Alors, libération immédiate… Le régime qui se vante d’être une « puissance régionale » a cédé en moins de temps qu’il ne faut pour dire Schwarzwaldklinik « Clinique de la Forêt-Noire »…
Un régime qui change d’avis plus vite qu’un enfant capricieux
Insulter un écrivain un jour… Le gracier le lendemain… Hurler contre l’étranger à midi… S’agenouiller devant lui à minuit !! L'Algérie officielle ressemble à un sketch permanent… Une sorte de théâtre de guignol politique où les ficelles sont tellement visibles que même le public n’applaudit plus… Ce n’est plus un État… c’est une bande de réactionnaires errants, agissant par impulsion, improvisation et trouille diplomatique…
On dirait un gouvernement dirigé par un comité de crise… qui serait lui-même toujours en crise… Derrière les discours enflammés sur la « souveraineté », la réalité est simple… Au premier coup de fil sérieux venu d’Europe ou d’Amérique, tout le monde se met au garde-à-vous !!
Pressions extérieures et le Sahara marocain
Le régime militaire, si prompt à jouer les durs devant ses citoyens, fond comme beurre fondu dès qu’un grand de ce monde hausse un sourcil… Sansal, que certains promettaient de ne jamais libérer, sort finalement par la grande porte grâce aux pressions extérieures… Et ce n’est qu’un début… Car si le dossier d’un écrivain a mis le système à genoux… Attendez de voir celui du Sahara marocain…
Face à la pression américaine, le régime militaire pourrait bien effectuer un virage à 360 degrés, renier 50 ans de propagande, et plier comme un roseau malade… Sinon, ce sera la chute libre… files d’attente interminables, coupures d’eau, répression systématique, soutien aux groupes armés dans le Sahel, mercenaires envoyés ici et là, et alliances douteuses avec Téhéran et le Hezbollah… Tout finira par remonter à la surface… Et quand cela arrivera, il ne restera du régime qu’un tas de cendres… celles-là mêmes qu’il aura lui-même semées…
La lumière finit toujours par l’emporter sur la fumée
Et pendant que l’autre côté de la frontière s’agite entre incendies réels et crises imaginaires, le Royaume du Maroc, lui, avance, construit, se projette… Là où Alger brûle ses forêts, Rabat verdit son avenir… Là où les généraux étouffent les voix libres, le Maroc multiplie les chantiers, ouvre ses ports, trace ses autoroutes, envoie ses satellites et bâtit son futur à coups d’ambition assumée…
D’un côté, un régime militaire qui tourne en rond depuis soixante ans, pris au piège de ses propres fumées… De l’autre, une monarchie réformatrice qui transforme chaque défi en opportunité, chaque crise en élan, chaque horizon en plateforme de décollage… L’Algérie officielle sombre dans la diversion, la paranoïa et la pyromanie politique… Le Maroc, lui, s’élève par la stabilité, l’innovation et la vision royale…
Là où le voisin hésite, vacille, s’invente des ennemis et se perd dans ses propres flammes… Le Maroc trace sa route, sûr de lui, solide, cohérent, fidèle à la promesse d’un pays qui ne cesse de surprendre le monde… Et si les généraux d’Alger veulent continuer à jouer avec les allumettes, grand bien leur fasse… Le Royaume du Maroc, lui, avance à la lumière… Et dans l’histoire des nations, la lumière finit toujours par l’emporter sur la fumée.
Version 1 : les généraux pyromanes
Le haut commandement aurait décidé, dans un soudain élan de créativité destructrice, de brûler les forêts du pays pour détourner l’attention d’un petit scandale… la libération forcée de Sansal, obtenue par une gifle diplomatique allemande… Une diversion à la “Tartuffe militarisé”… tu mets le feu à tout, tu cries au complot, et hop ! L’opinion se tourne vers la fumée pendant que tu tentes d’éteindre l’incendie politique sous la table…
Si cette version est vraie, alors l’Algérie n’est plus un État mais une succursale de gangsters avec casquette étoilée, prêts à sacrifier l’écosystème national pour sauver la peau d’une poignée de gradés ventrus… Un système « tout pour nous, rien pour le pays », qui brûlerait le désert pour réchauffer son fauteuil…
Version 2 : les ennemis venus de l’espace
Les incendies seraient l’œuvre de forces étrangères malveillantes, mystérieuses, invisibles, peut-être même intergalactiques… Dans ce cas, il faut admettre que les services de sécurité algériens « pourtant plus nombreux que les arbres qu’il reste » sont si dépassés qu’un groupe de saboteurs pourrait traverser le pays, allumer trois barils et repartir prendre un thé à la menthe… sans que personne ne remarque rien… Là, c’est pire !! Un État transformé en passoire, où les « cellules dormantes » semblent faire plus de nuits blanches que les ministres…
Dans les deux cas, tu choisis entre la trahison… et l’incompétence… Entre le feu volontaire… et le feu mal surveillé… Entre le régime pyromane… ou le régime somnolent… ainsi l’Algérie officielle joue toujours avec des flammes !!
Tebboune et Sansal… je t’insulte, moi non plus
Il y a quelques mois, le président Abdelmadjid Tebboune s’était transformé en critique littéraire, version caniveau, en qualifiant Sansal de « voleur bâtard inconnu de père et de mère »… Une insulte d’État, prononcée comme si la diplomatie algérienne était gérée depuis un café enfumé à Bab El Oued… Le crime de Sansal c’est d’avoir expliqué que certaines régions de l’Ouest algérien étaient historiquement marocaines… Sacrilège ! Hérésie ! Crime de lèse-discours officiel !
Mais voilà que l’orage s’inverse… le même président qui insultait l’écrivain avec la poésie d’un parpaing… est obligé de signer sa grâce… Pas par grandeur morale, attention ! Ce serait trop beau, mais parce que Steinmeier, président allemand, a claqué du doigt… Il a suffi d’un communiqué venu de Berlin pour que l’orgueil guerrier d’Alger fonde plus vite que ses forêts en août…
Et pour appuyer la demande, le président allemand a même rappelé à Tebboune sa carte de fidélité aux hôpitaux allemands… Un argument sanitaire très convaincant… Alors, libération immédiate… Le régime qui se vante d’être une « puissance régionale » a cédé en moins de temps qu’il ne faut pour dire Schwarzwaldklinik « Clinique de la Forêt-Noire »…
Un régime qui change d’avis plus vite qu’un enfant capricieux
Insulter un écrivain un jour… Le gracier le lendemain… Hurler contre l’étranger à midi… S’agenouiller devant lui à minuit !! L'Algérie officielle ressemble à un sketch permanent… Une sorte de théâtre de guignol politique où les ficelles sont tellement visibles que même le public n’applaudit plus… Ce n’est plus un État… c’est une bande de réactionnaires errants, agissant par impulsion, improvisation et trouille diplomatique…
On dirait un gouvernement dirigé par un comité de crise… qui serait lui-même toujours en crise… Derrière les discours enflammés sur la « souveraineté », la réalité est simple… Au premier coup de fil sérieux venu d’Europe ou d’Amérique, tout le monde se met au garde-à-vous !!
Pressions extérieures et le Sahara marocain
Le régime militaire, si prompt à jouer les durs devant ses citoyens, fond comme beurre fondu dès qu’un grand de ce monde hausse un sourcil… Sansal, que certains promettaient de ne jamais libérer, sort finalement par la grande porte grâce aux pressions extérieures… Et ce n’est qu’un début… Car si le dossier d’un écrivain a mis le système à genoux… Attendez de voir celui du Sahara marocain…
Face à la pression américaine, le régime militaire pourrait bien effectuer un virage à 360 degrés, renier 50 ans de propagande, et plier comme un roseau malade… Sinon, ce sera la chute libre… files d’attente interminables, coupures d’eau, répression systématique, soutien aux groupes armés dans le Sahel, mercenaires envoyés ici et là, et alliances douteuses avec Téhéran et le Hezbollah… Tout finira par remonter à la surface… Et quand cela arrivera, il ne restera du régime qu’un tas de cendres… celles-là mêmes qu’il aura lui-même semées…
La lumière finit toujours par l’emporter sur la fumée
Et pendant que l’autre côté de la frontière s’agite entre incendies réels et crises imaginaires, le Royaume du Maroc, lui, avance, construit, se projette… Là où Alger brûle ses forêts, Rabat verdit son avenir… Là où les généraux étouffent les voix libres, le Maroc multiplie les chantiers, ouvre ses ports, trace ses autoroutes, envoie ses satellites et bâtit son futur à coups d’ambition assumée…
D’un côté, un régime militaire qui tourne en rond depuis soixante ans, pris au piège de ses propres fumées… De l’autre, une monarchie réformatrice qui transforme chaque défi en opportunité, chaque crise en élan, chaque horizon en plateforme de décollage… L’Algérie officielle sombre dans la diversion, la paranoïa et la pyromanie politique… Le Maroc, lui, s’élève par la stabilité, l’innovation et la vision royale…
Là où le voisin hésite, vacille, s’invente des ennemis et se perd dans ses propres flammes… Le Maroc trace sa route, sûr de lui, solide, cohérent, fidèle à la promesse d’un pays qui ne cesse de surprendre le monde… Et si les généraux d’Alger veulent continuer à jouer avec les allumettes, grand bien leur fasse… Le Royaume du Maroc, lui, avance à la lumière… Et dans l’histoire des nations, la lumière finit toujours par l’emporter sur la fumée.