Poème à écouter en musique de Dr Anwar CHERKAOUI
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Dr Anwar CHERKAOUI

Que l’homme retienne cette leçon ,
Qu’il apprenne à dire non ,
Ainsi peut-être , un jour , enfin ,
Il rentrera chez lui , divin
L’homme avance, sûr de lui,
Oubliant qu’un jour, sous un ciel d’azur,
Un autre, le premier, a trébuché,
Sous l’éclat trompeur d’un fruit trop mûr.
Dans l’Éden, tout était lumière,
L’amour pur, l’innocence entière,
Mais un murmure, un vent léger,
A suffi pour faire tout basculer.
Le mal ne frappe pas en tonnerre,
Il s’insinue, doux comme un rêve,
Un pas de trop hors de la lumière,
Et l’ombre danse, subtile et brève.
Un regard, une hésitation,
Un mot trahi par l’illusion,
Et voici l’homme, à son tour,
Exilé du jardin d’amour.
Mais qu’il est doux, pourtant, d’apprendre,
Que le péché n’est pas fatal,
Qu’un souffle d’âme peut l’éteindre,
Avant qu’il ne devienne un mal.
Écoute l’écho d’Adan qui pleure,
Sa faute est née d’un seul instant,
Si l’homme, sage, veille son cœur,
Il peut renaître, innocent.
Loin des chemins de la discorde,
Loin des détours aux pièges feutrés,
Le mal commence comme une corde,
Qu’un simple geste peut briser.
Alors, veille aux ombres qui rampent,
Aux promesses qui luisent trop fort,
Car d’une larme à une tempête,
Il n’est souvent qu’un battement d’or.
Que l’homme retienne cette leçon,
Qu’il apprenne à dire non,
Ainsi peut-être, un jour, enfin,
Il rentrera chez lui, divin
Qu’il apprenne à dire non ,
Ainsi peut-être , un jour , enfin ,
Il rentrera chez lui , divin
L’homme avance, sûr de lui,
Oubliant qu’un jour, sous un ciel d’azur,
Un autre, le premier, a trébuché,
Sous l’éclat trompeur d’un fruit trop mûr.
Dans l’Éden, tout était lumière,
L’amour pur, l’innocence entière,
Mais un murmure, un vent léger,
A suffi pour faire tout basculer.
Le mal ne frappe pas en tonnerre,
Il s’insinue, doux comme un rêve,
Un pas de trop hors de la lumière,
Et l’ombre danse, subtile et brève.
Un regard, une hésitation,
Un mot trahi par l’illusion,
Et voici l’homme, à son tour,
Exilé du jardin d’amour.
Mais qu’il est doux, pourtant, d’apprendre,
Que le péché n’est pas fatal,
Qu’un souffle d’âme peut l’éteindre,
Avant qu’il ne devienne un mal.
Écoute l’écho d’Adan qui pleure,
Sa faute est née d’un seul instant,
Si l’homme, sage, veille son cœur,
Il peut renaître, innocent.
Loin des chemins de la discorde,
Loin des détours aux pièges feutrés,
Le mal commence comme une corde,
Qu’un simple geste peut briser.
Alors, veille aux ombres qui rampent,
Aux promesses qui luisent trop fort,
Car d’une larme à une tempête,
Il n’est souvent qu’un battement d’or.
Que l’homme retienne cette leçon,
Qu’il apprenne à dire non,
Ainsi peut-être, un jour, enfin,
Il rentrera chez lui, divin
Le poème L’ombre d’Adan explore la fragilité humaine face à la tentation et aux conséquences du premier refus manqué.
Il rappelle la chute d’Adam, causée par une hésitation et un murmure trompeur, illustrant comment le mal s’insinue subtilement dans l’âme. À travers des images évocatrices, il met en garde contre les illusions séduisantes et les pièges du monde, soulignant l’importance d’apprendre à dire « non » pour ne pas sombrer. Pourtant, l’espoir demeure : l’homme, conscient de ses failles, peut toujours se relever et retrouver l’innocence perdue. Le texte insiste sur la vigilance face aux ombres rampantes de la discorde et sur la capacité de chacun à briser le cycle de l’erreur par une simple décision. En conclusion, il invite à une sagesse retrouvée, un retour à la lumière divine, là où l’homme, enfin maître de son destin, pourrait renaître pur.