Guerre Civile : Révélations sur les Mercenaires colombiens au Soudan
Concrètement, des mercenaires originaires de Colombie ont été déployés au Soudan, engagés par des intermédiaires liés aux EAU, pour soutenir l'une des parties en guerre – probablement les Forces de Soutien Rapide (FSR) contre l'armée régulière. L'enquête, basée sur des témoignages et documents, montre un réseau d'embauche via des sociétés privées, avec des combattants formés en Amérique du Sud avant d'être envoyés. Cela s'inscrit dans une guerre civile qui a éclaté en 2023, causant des milliers de morts et des déplacements massifs. Le bilan humain reste évolutif, sans chiffres précis sur ces mercenaires, mais leur rôle est confirmé par des sources comme des ONG internationales.
Cette révélation souligne comment les puissances extérieures prolongent les conflits africains pour des intérêts géopolitiques, comme l'accès aux ressources (or, uranium) ou des alliances stratégiques. Ça fragilise la souveraineté des États et alimente l'instabilité régionale, avec des risques de propagation vers le Sahel. Pour nous au Maroc, c'est une alerte sérieuse : en tant que membre influent de l'Union Africaine (UA), le Royaume suit de près ces ingérences, qui pourraient inspirer des dynamiques similaires en Afrique du Nord.
Notre diplomatie active en Afrique (comme avec le Soudan via des médiations) est concernée, et ça touche notre sécurité : des flux migratoires du Soudan vers l'Europe passent par le Maroc, augmentant les pressions sur nos frontières. Économiquement, des perturbations au Soudan affectent nos exportations agricoles ou phosphates vers l'Afrique de l'Est – c'est comme une tempête sur nos routes commerciales, bzzaf impactant pour les jobs à Casablanca ou Agadir.
Trois repères clés : d'abord, la guerre civile soudanaise oppose l'armée et les FSR depuis avril 2023, avec plus de 15 000 morts. Ensuite, les EAU sont accusés d'ingérence depuis 2024 via des armes et soutiens. Enfin, en 2025, des enquêtes comme celle de The New York Times ou d'ONG révèlent des réseaux de mercenaires, incluant des Russes et maintenant des Colombiens.
Les réactions sont vives : sur les réseaux, #SudanMercenaries et #UAEInterference trending, avec des appels à des sanctions internationales. Le gouvernement soudanais dénonce une "violation de souveraineté", tandis que les EAU nient formellement, qualifiant ça de "désinformation". Des figures comme l'ONU et Human Rights Watch demandent des enquêtes, alertant sur les violations des droits humains.
Cette révélation souligne comment les puissances extérieures prolongent les conflits africains pour des intérêts géopolitiques, comme l'accès aux ressources (or, uranium) ou des alliances stratégiques. Ça fragilise la souveraineté des États et alimente l'instabilité régionale, avec des risques de propagation vers le Sahel. Pour nous au Maroc, c'est une alerte sérieuse : en tant que membre influent de l'Union Africaine (UA), le Royaume suit de près ces ingérences, qui pourraient inspirer des dynamiques similaires en Afrique du Nord.
Notre diplomatie active en Afrique (comme avec le Soudan via des médiations) est concernée, et ça touche notre sécurité : des flux migratoires du Soudan vers l'Europe passent par le Maroc, augmentant les pressions sur nos frontières. Économiquement, des perturbations au Soudan affectent nos exportations agricoles ou phosphates vers l'Afrique de l'Est – c'est comme une tempête sur nos routes commerciales, bzzaf impactant pour les jobs à Casablanca ou Agadir.
Trois repères clés : d'abord, la guerre civile soudanaise oppose l'armée et les FSR depuis avril 2023, avec plus de 15 000 morts. Ensuite, les EAU sont accusés d'ingérence depuis 2024 via des armes et soutiens. Enfin, en 2025, des enquêtes comme celle de The New York Times ou d'ONG révèlent des réseaux de mercenaires, incluant des Russes et maintenant des Colombiens.
Les réactions sont vives : sur les réseaux, #SudanMercenaries et #UAEInterference trending, avec des appels à des sanctions internationales. Le gouvernement soudanais dénonce une "violation de souveraineté", tandis que les EAU nient formellement, qualifiant ça de "désinformation". Des figures comme l'ONU et Human Rights Watch demandent des enquêtes, alertant sur les violations des droits humains.