Rédigé par Saïd Temsamani
Au Maroc, le soufisme n’est pas un simple courant religieux : il est le ciment spirituel et culturel d’une nation. Pourtant, aujourd’hui, ce patrimoine millénaire se retrouve sous les projecteurs d’une polémique amplifiée et souvent déformée. Certaines tensions internes au sein des zaouias et des confréries sont exploitées pour jeter le doute sur l’intégrité d’une tradition qui a façonné l’âme du Royaume pendant des siècles.
L’Association Moulay Abdessalam Ben Mchich pour le Développement et la Solidarité tire la sonnette d’alarme : ces conflits, bien que réels, sont marginaux et ponctuels. Ils ne sauraient jamais représenter l’essence du soufisme marocain, fondé sur l’amour, la tolérance et l’unité. Depuis des générations, les zaouias, et particulièrement la Tariqa Qadiriya Boudchichiya, jouent un rôle clé dans la cohésion sociale, la diffusion de valeurs de modération et l’ancrage d’une identité religieuse équilibrée, héritée du madhhab malikite, de la doctrine ash’arite et du soufisme sunnite pratique.
Le soufisme marocain, enraciné dans l’enseignement du cheikh Moulay Abdessalam Ben Mchich et de son disciple l’Imam Abou Al-Hassan Al-Chadhili, a constitué, au fil des siècles, un véritable rempart contre l’extrémisme et la radicalisation. Les zaouias ont été des foyers de savoir, de spiritualité et d’éthique, consolidant l’unité des Marocains et la vitalité culturelle du pays. Aujourd’hui, sous la guidance spirituelle de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, ces institutions continuent de recevoir le soutien et la reconnaissance nécessaires pour préserver la stabilité et l’unité nationale.
Au-delà des querelles passagères, il s’agit de protéger un patrimoine spirituel fondamental. Toute atteinte à ce soufisme authentique est une atteinte à l’histoire et à l’identité profonde du Maroc. La responsabilité des acteurs du soufisme est donc claire : dépasser les différends, resserrer les rangs et montrer au monde le visage lumineux du soufisme marocain, fondé sur le savoir, l’action et la vertu.
Dans un contexte mondial où l’extrémisme cherche à diviser les sociétés, le soufisme marocain reste une force unificatrice et un symbole d’équilibre. Le défi est de maintenir vivante cette tradition et de la faire rayonner comme une marque distinctive de la spiritualité marocaine, ouverte sur le monde et solidement ancrée dans son histoire.
L’Association Moulay Abdessalam Ben Mchich pour le Développement et la Solidarité tire la sonnette d’alarme : ces conflits, bien que réels, sont marginaux et ponctuels. Ils ne sauraient jamais représenter l’essence du soufisme marocain, fondé sur l’amour, la tolérance et l’unité. Depuis des générations, les zaouias, et particulièrement la Tariqa Qadiriya Boudchichiya, jouent un rôle clé dans la cohésion sociale, la diffusion de valeurs de modération et l’ancrage d’une identité religieuse équilibrée, héritée du madhhab malikite, de la doctrine ash’arite et du soufisme sunnite pratique.
Le soufisme marocain, enraciné dans l’enseignement du cheikh Moulay Abdessalam Ben Mchich et de son disciple l’Imam Abou Al-Hassan Al-Chadhili, a constitué, au fil des siècles, un véritable rempart contre l’extrémisme et la radicalisation. Les zaouias ont été des foyers de savoir, de spiritualité et d’éthique, consolidant l’unité des Marocains et la vitalité culturelle du pays. Aujourd’hui, sous la guidance spirituelle de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, ces institutions continuent de recevoir le soutien et la reconnaissance nécessaires pour préserver la stabilité et l’unité nationale.
Au-delà des querelles passagères, il s’agit de protéger un patrimoine spirituel fondamental. Toute atteinte à ce soufisme authentique est une atteinte à l’histoire et à l’identité profonde du Maroc. La responsabilité des acteurs du soufisme est donc claire : dépasser les différends, resserrer les rangs et montrer au monde le visage lumineux du soufisme marocain, fondé sur le savoir, l’action et la vertu.
Dans un contexte mondial où l’extrémisme cherche à diviser les sociétés, le soufisme marocain reste une force unificatrice et un symbole d’équilibre. Le défi est de maintenir vivante cette tradition et de la faire rayonner comme une marque distinctive de la spiritualité marocaine, ouverte sur le monde et solidement ancrée dans son histoire.