Si vous cherchez une bouffée d’air artistique, direction la galerie African Arty à Casablanca. Jusqu’au 15 septembre, l’espace accueille “Imprévisible”, une exposition signée par l’artiste tunisien Tahar M’Guedmini, en collaboration avec la galerie bruxelloise Obafricart. Une immersion dans un univers où la matière et la couleur dansent au rythme du vent, entre abstraction et liberté gestuelle.
Une exposition entre tension et suspension
Dès les premières toiles, le spectateur est happé par une énergie brute et élémentaire. Le vent, omniprésent dans l’univers de M’Guedmini, semble souffler sur chaque coup de pinceau, animant les œuvres d’une tension palpable. Mais ce n’est pas tout : une silhouette récurrente, “l’homme en noir” surgit ici et là, comme un écho mystérieux à notre humanité collective. Anonyme et universelle, cette figure invite à une interprétation libre, oscillant entre présence et absence, chaos et calme.
Pour M’Guedmini, la peinture n’est pas qu’une technique, c’est une force vitale. Né en 1948 sur l’île de Djerba, il a été formé à Tunis et à Paris avant de poser ses valises à Ajim, son atelier-refuge. Là-bas, il peint comme on respire, transformant le chaos en une harmonie maîtrisée. Avec “Imprévisible”, il nous offre une série d’œuvres où chaque coup de pinceau raconte un souffle, un mouvement, une vie.
Une exposition entre tension et suspension
Dès les premières toiles, le spectateur est happé par une énergie brute et élémentaire. Le vent, omniprésent dans l’univers de M’Guedmini, semble souffler sur chaque coup de pinceau, animant les œuvres d’une tension palpable. Mais ce n’est pas tout : une silhouette récurrente, “l’homme en noir” surgit ici et là, comme un écho mystérieux à notre humanité collective. Anonyme et universelle, cette figure invite à une interprétation libre, oscillant entre présence et absence, chaos et calme.
Pour M’Guedmini, la peinture n’est pas qu’une technique, c’est une force vitale. Né en 1948 sur l’île de Djerba, il a été formé à Tunis et à Paris avant de poser ses valises à Ajim, son atelier-refuge. Là-bas, il peint comme on respire, transformant le chaos en une harmonie maîtrisée. Avec “Imprévisible”, il nous offre une série d’œuvres où chaque coup de pinceau raconte un souffle, un mouvement, une vie.
Un artiste qui traverse les frontières
Tahar M’Guedmini n’est pas un inconnu. Présent dans des collections prestigieuses comme celle du British Museum, il a exposé aux quatre coins du globe, de Zurich à Paris en passant par sa chère Djerba. Mais c’est à Casablanca qu’il choisit aujourd’hui de poser ses toiles, grâce à African Arty. Fondée en 2019, cette galerie a pour mission de faire rayonner les artistes africains à l’international. Avec ses 500 m² flambant neufs, elle devient un véritable hub culturel, entre expositions, résidences d’artistes et collaborations internationales.