Tawakkol Karman : la porteuse de bois d’Alger... quand une Nobel joue les pyromanes


Il fut un temps où le Prix Nobel de la Paix récompensait les artisans du dialogue, les bâtisseurs de ponts et les apôtres du pardon. Aujourd’hui, il semble s’être recyclé en certificat d’exportation de chaos… La preuve vivante ? Tawakkol Karman, alias la Nobel du vacarme, qui transforme chaque réseau social en champ de bataille virtuel…



Par Mohammed Yassir Mouline
Depuis son balcon numérique à Istanbul, la militante yéménite «devenue turque par convenance diplomatique » ne tweete plus pour la paix, mais pour la guerre des nerfs… Sur X (ex-Twitter), elle appelle carrément à une « intifada marocaine » et à une « purification par le sang »… Oui, “par le sang” … Une formule qui ferait frissonner même Rambo !!
 
Tawakkol Karman aurait été recyclée, dit-on, de “symbole du printemps arabe” en influenceuse du désordre sponsorisé... Quinze millions de dollars auraient été versés par Alger pour tenter de mobiliser les jeunes Marocains contre les institutions de l’État… À ce prix-là, on comprend que la “militante” ait retrouvé sa foi dans le capital... Et le Nobel passe à la caisse !!
 
La scène se serait déroulée à New York, entre deux selfies diplomatiques et un café “fair trade” hors de prix… Madame Karman, “prix Nobel de la paix” (on insiste sur paix, pour la blague), aurait rencontré un général du renseignement algérien… Au menu : agitation numérique, manipulation émotionnelle, et quelques scripts de vidéos pour “réveiller la jeunesse marocaine”… Le tout aurait été soigneusement emballé dans du vernis humanitaire, histoire de faire propre… Quant à la transaction, elle se serait opérée en deux virements, l’un vers Istanbul, l’autre vers Doha, juste de quoi diluer l’odeur du pétrole dans celle du jasmin… Et dire qu’on nous aurait promis que le prix Nobel récompensait les bâtisseurs de paix,  pas les agents immobiliers du chaos…
 
 Le plan était simple : exploiter les mouvements de la “génération Z”, souffler sur les braises du mécontentement, faire croire que le Maroc vacille… Mais voilà, petit détail que les stratèges de la discorde n’avaient pas prévu … les Marocains ont la peau dure et la mémoire longue… Les jeunes qu’on croyait manipulables sont entrés dans le palais royal… pas pour y crier des slogans, mais pour y remettre la Coupe du Monde… L’image a fait le tour du monde, là où les autres nations cherchent des symboles, le Maroc en produit… Et soudain, les hyènes du net ont perdu leur signal Wi-Fi…
 
Pendant que madame Karman rédige ses tweets “révolutionnaires” depuis un hôtel cinq étoiles, les jeunes Marocains, eux, construisent leur avenir à coup de médailles, de diplômes, et de projets… Ici, la loyauté n’est pas une posture, c’est un ADN… Ici, on ne vend pas son pays pour un virement bancaire… Et quand le royaume parle, ce n’est pas avec des mots… mais avec des résultats…

Mohammed Yassir Mouline
Tandis que d’autres dépensent des fortunes pour fabriquer des illusions, le Royaume investit dans l’éducation, le sport, la jeunesse... Ce n’est pas un hasard si la “génération Z marocaine” gagne sur les terrains du monde entier, elle incarne une vision royale où la réussite collective écrase la haine fabriquée… Le Maroc ne se justifie pas, il agit…
 
Les services algériens ont cru rallumer le feu en confiant l’allumette à une femme qu’on surnomme dans certains milieux “la porteuse de bois - 7amalatou al 7atabe ”… Mais  le problème est que le bois est mouillé et le Maroc, loin d’être inflammable, est un bloc de granite… Et chaque tentative d’incendie se transforme en feu d’artifice patriotique… la pauvre Tawakkol, la “porteuse de bois” d’une flamme éteinte, Elle ne défend plus les peuples, elle défend ses factures !!
 
Le Club des Avocats du Maroc, lui, n’a pas apprécié la blague… Il a décidé de porter plainte devant la justice turque, histoire de rappeler à Madame Nobel que la liberté d’expression n’est pas un ticket open bar pour inciter au terrorisme… Le collectif, dirigé par Me Mourad Elajouti, accuse la “militante de la paix” d’appels explicites à la rébellion et à la violence contre les institutions marocaines... Le Club des Avocats ne s’est pas arrêté là : il a saisi le ministère public turc pour incitation au terrorisme, injure aggravée et atteinte à l’ordre public, demandant la saisie des contenus et la convocation de Karman… Et pendant que la justice s’ébroue, des acteurs de la société civile exigent du Comité Nobel de lui retirer son trophée doré…
 
Car enfin, qu’a fait Tawakkol Karman de son prix ? Au lieu de bâtir la paix, elle s’en sert comme microphone diplomatique pour attiser la discorde… Au lieu de prêcher la tolérance, elle distribue les insultes… Et au lieu de promouvoir la réconciliation, elle sème la haine… puis s’envole vers des cieux plus paisibles, laissant derrière elle la guerre et la famine…
 
Le scénario rêvé à Alger s’est donc effondré… pas de révolution, pas de chaos, pas de fuite en masse... Rien que du calme, de la confiance, et une jeunesse qui célèbre sa victoire dans le palais, autour d’un thé à la menthe partagé avec le Prince héritierEt Quand les hyènes s’excitent, le Maroc s’élève… Et pendant qu’elles hurlent à la mort, LE LION - Lui - savoure sa victoire… Et si un jour on devait récompenser la vraie paix, ce ne serait pas avec un Nobel distribué à la carte, mais avec un hommage à ce pays qui, sans bruit, sans larmes ni trahisons, avance simplement, fièrement, royalement…


Mercredi 29 Octobre 2025

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