À 21 ans, l'Espagnol Carlos Alcaraz a déjà remporté l'US Open en 2022, Wimbledon en 2023 et Roland-Garros en 2024. Contrairement à l'an dernier, où les deux hommes avaient disputé un match serré, cette fois-ci, la victoire d'Alcaraz a été sans appel.
Seul le pedigree de Djokovic laissait entrevoir un possible retournement de situation, bien que très improbable.
La domination d'Alcaraz a été écrasante, ne prenant que 2h27 pour vaincre l'un des meilleurs joueurs sur gazon de l'histoire (seul Federer a remporté plus de matchs sur cette surface que Djokovic), lui infligeant l'une de ses pires défaites en finale de Grand Chelem.
Djokovic s'est retrouvé impuissant face à un Alcaraz trop rapide, trop puissant et trop habile. Retours, passings, amorties, contre-amorties, volées, services, coups dans le dos... Alcaraz a déployé une gamme de coups impressionnante, laissant Djokovic désorienté.
Dans le premier set, après un long premier jeu sur le service de Djokovic (quinze minutes), Alcaraz a immédiatement breaké. Djokovic, en difficulté avec sa première balle, a concédé un double break sur une double faute, permettant à Alcaraz de se détacher 4-1 puis 5-1.
Sur le court, Alcaraz a été supérieur, obligeant Djokovic à jouer des volées basses difficiles quand il tentait des montées au filet et s'ouvrant le court pour placer son puissant coup droit long de ligne.
Le deuxième set a commencé de la même manière, avec un break d'Alcaraz, tandis que Djokovic semblait sans solution face au jeu total de l'Espagnol. Comme dans la première manche, Djokovic a été totalement dépassé, perdant son service une deuxième fois et la manche sans jamais sembler capable de renverser la situation.
Djokovic a finalement remporté son premier service dans le troisième set et même mené 30/0 sur le service d'Alcaraz. Mais l'Espagnol a égalisé en profitant d'un faux rebond sur son dernier service.
Pas de chance sur le point suivant, où il a transpercé Djokovic d'un coup droit supersonique. Après avoir sauvé quatre balles de break, Djokovic a conservé son service, mais son abnégation ressemblait plus à de la survie qu'à une réelle capacité à inverser la tendance.
À 4-4, Alcaraz a accéléré et réussi le break grâce à trois coups gagnants. Il a servi pour le match et obtenu trois balles de match à 40/0, mais Djokovic a égalisé en profitant d'une volée facile manquée. Ensuite, il a débreaké, et les deux hommes ont disputé le tie-break, où Djokovic excelle habituellement. Mais cette fois, c'est Alcaraz qui a eu le dernier mot.
Seul le pedigree de Djokovic laissait entrevoir un possible retournement de situation, bien que très improbable.
La domination d'Alcaraz a été écrasante, ne prenant que 2h27 pour vaincre l'un des meilleurs joueurs sur gazon de l'histoire (seul Federer a remporté plus de matchs sur cette surface que Djokovic), lui infligeant l'une de ses pires défaites en finale de Grand Chelem.
Djokovic s'est retrouvé impuissant face à un Alcaraz trop rapide, trop puissant et trop habile. Retours, passings, amorties, contre-amorties, volées, services, coups dans le dos... Alcaraz a déployé une gamme de coups impressionnante, laissant Djokovic désorienté.
Dans le premier set, après un long premier jeu sur le service de Djokovic (quinze minutes), Alcaraz a immédiatement breaké. Djokovic, en difficulté avec sa première balle, a concédé un double break sur une double faute, permettant à Alcaraz de se détacher 4-1 puis 5-1.
Sur le court, Alcaraz a été supérieur, obligeant Djokovic à jouer des volées basses difficiles quand il tentait des montées au filet et s'ouvrant le court pour placer son puissant coup droit long de ligne.
Le deuxième set a commencé de la même manière, avec un break d'Alcaraz, tandis que Djokovic semblait sans solution face au jeu total de l'Espagnol. Comme dans la première manche, Djokovic a été totalement dépassé, perdant son service une deuxième fois et la manche sans jamais sembler capable de renverser la situation.
Djokovic a finalement remporté son premier service dans le troisième set et même mené 30/0 sur le service d'Alcaraz. Mais l'Espagnol a égalisé en profitant d'un faux rebond sur son dernier service.
Pas de chance sur le point suivant, où il a transpercé Djokovic d'un coup droit supersonique. Après avoir sauvé quatre balles de break, Djokovic a conservé son service, mais son abnégation ressemblait plus à de la survie qu'à une réelle capacité à inverser la tendance.
À 4-4, Alcaraz a accéléré et réussi le break grâce à trois coups gagnants. Il a servi pour le match et obtenu trois balles de match à 40/0, mais Djokovic a égalisé en profitant d'une volée facile manquée. Ensuite, il a débreaké, et les deux hommes ont disputé le tie-break, où Djokovic excelle habituellement. Mais cette fois, c'est Alcaraz qui a eu le dernier mot.