Le secteur remonte en flèche vers des chiffres historiques
Le tourisme marocain poursuit sa trajectoire ascendante, avec l’objectif d’atteindre 20 millions d’arrivées et 120 milliards de dirhams de recettes à l’horizon 2025. Portée par une reprise post-pandémique robuste, la filière s’appuie sur une stratégie intégrée combinant connectivité aérienne, montée en gamme de l’hébergement et promotion digitale.
Les chiffres montrent une progression soutenue des marchés traditionnels européens, tandis que des nouvelles clientèles émergent au Moyen-Orient, en Afrique et en Amérique du Nord. La diversification des origines de visiteurs réduit la vulnérabilité aux chocs et stabilise les revenus. La hausse des liaisons aériennes, les accords avec des compagnies low-cost et la modernisation des aéroports y contribuent fortement.
Côté offre, les investissements dans les hôtels, les resorts et les maisons d’hôtes misent sur la qualité et l’expérience. Le tourisme culturel, le patrimoine, les événements et les circuits nature (montagne, désert, littoral) élargissent la palette. Les destinations comme Marrakech, Agadir, Fès, Chefchaouen ou Dakhla capitalisent sur une identité forte et des produits thématiques (bien-être, surf, gastronomie).
La digitalisation joue un rôle clé: campagnes ciblées, réservation en ligne, influenceurs et contenus immersifs renforcent la visibilité internationale. Les autorités misent sur la qualité de service, la formation des métiers, et la durabilité: gestion des flux, protection des écosystèmes, et labels environnementaux.
Les défis persistent: saisonnalité, capacité dans certaines villes, mobilité urbaine, et compétences. La réponse passe par des politiques coordonnées entre ministère, ONMT, opérateurs aériens et collectivités. À moyen terme, l’enjeu est de maintenir une valeur ajoutée élevée, en captant des séjours plus longs et des dépenses plus qualifiées.
Si le cap annoncé se confirme, le Maroc s’installera parmi les leaders régionaux, avec un impact socio-économique significatif: emplois, revenus et investissements. La confiance des marchés et la qualité de l’expérience seront les ressorts de ce momentum.
Les chiffres montrent une progression soutenue des marchés traditionnels européens, tandis que des nouvelles clientèles émergent au Moyen-Orient, en Afrique et en Amérique du Nord. La diversification des origines de visiteurs réduit la vulnérabilité aux chocs et stabilise les revenus. La hausse des liaisons aériennes, les accords avec des compagnies low-cost et la modernisation des aéroports y contribuent fortement.
Côté offre, les investissements dans les hôtels, les resorts et les maisons d’hôtes misent sur la qualité et l’expérience. Le tourisme culturel, le patrimoine, les événements et les circuits nature (montagne, désert, littoral) élargissent la palette. Les destinations comme Marrakech, Agadir, Fès, Chefchaouen ou Dakhla capitalisent sur une identité forte et des produits thématiques (bien-être, surf, gastronomie).
La digitalisation joue un rôle clé: campagnes ciblées, réservation en ligne, influenceurs et contenus immersifs renforcent la visibilité internationale. Les autorités misent sur la qualité de service, la formation des métiers, et la durabilité: gestion des flux, protection des écosystèmes, et labels environnementaux.
Les défis persistent: saisonnalité, capacité dans certaines villes, mobilité urbaine, et compétences. La réponse passe par des politiques coordonnées entre ministère, ONMT, opérateurs aériens et collectivités. À moyen terme, l’enjeu est de maintenir une valeur ajoutée élevée, en captant des séjours plus longs et des dépenses plus qualifiées.
Si le cap annoncé se confirme, le Maroc s’installera parmi les leaders régionaux, avec un impact socio-économique significatif: emplois, revenus et investissements. La confiance des marchés et la qualité de l’expérience seront les ressorts de ce momentum.