Bus à la rescousse :
Le projet se déploiera en trois phases distinctes. La première phase, déjà en cours, concerne 37 autorités délégataires, englobant 18 communes, 12 établissements de coopération intercommunale et 7 groupements de collectivités territoriales. Parmi les villes prioritaires figurent Marrakech, Tanger, Agadir, Tétouan, Benslimane et Fès, où des appels d’offres ont été lancés pour l’acquisition de 1 317 autobus. Cette étape initiale inclura également la mise en place de systèmes de billetterie modernes, des infrastructures telles que des parkings et des arrêts, ainsi que des centres de maintenance.
Le budget alloué à ce programme s’élève à 11 milliards de dirhams (MMDH), destiné à financer l’achat de 3 746 autobus et à améliorer les équipements de gestion du transport. Ce modèle de gestion innovant repose sur trois piliers : la séparation claire entre l’investissement et l’exploitation, la prise en charge intégrale des investissements par les autorités délégataires, et l’utilisation de nouveaux outils pour le suivi et le contrôle des contrats.
Le financement de ce projet est structuré selon un modèle tripartite : un tiers des fonds proviendra des régions, tandis que les deux tiers restants seront assurés par le Fonds d’accompagnement des réformes du transport routier, dont la dotation annuelle a été augmentée de 2 à 3 MMDH grâce à une hausse des contributions des ministères de l’Intérieur et des Finances.
Les phases suivantes de ce programme, qui viseront respectivement 24 puis 37 villes supplémentaires, seront lancées progressivement, en tenant compte de l’expiration des contrats de transport urbain existants. Cette initiative ambitieuse vise à moderniser en profondeur le secteur du transport urbain au Maroc, avec un parc renouvelé et des services améliorés, garantissant ainsi une meilleure qualité de service pour les usagers dans les grandes agglomérations.
Le budget alloué à ce programme s’élève à 11 milliards de dirhams (MMDH), destiné à financer l’achat de 3 746 autobus et à améliorer les équipements de gestion du transport. Ce modèle de gestion innovant repose sur trois piliers : la séparation claire entre l’investissement et l’exploitation, la prise en charge intégrale des investissements par les autorités délégataires, et l’utilisation de nouveaux outils pour le suivi et le contrôle des contrats.
Le financement de ce projet est structuré selon un modèle tripartite : un tiers des fonds proviendra des régions, tandis que les deux tiers restants seront assurés par le Fonds d’accompagnement des réformes du transport routier, dont la dotation annuelle a été augmentée de 2 à 3 MMDH grâce à une hausse des contributions des ministères de l’Intérieur et des Finances.
Les phases suivantes de ce programme, qui viseront respectivement 24 puis 37 villes supplémentaires, seront lancées progressivement, en tenant compte de l’expiration des contrats de transport urbain existants. Cette initiative ambitieuse vise à moderniser en profondeur le secteur du transport urbain au Maroc, avec un parc renouvelé et des services améliorés, garantissant ainsi une meilleure qualité de service pour les usagers dans les grandes agglomérations.
