Poème à écouter en musique de El Montacir Bensaid
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de El Montacir Bensaid
Je voudrais changer de vie.
Me trouver une île,un sanctuaire.
Un doux éden de poésie.
Loin des villes tentaculaires.
Je n'y inviterais que les âmes bénies.
Nous erigerions ,ensemble, un totem spectaculaire.
Un phare pour les oubliés, les démunis.
Une nouvelle vie,une communauté vernaculaire.
Ni réseaux, ni robots maudits.
Un havre de paix rudimentaire.
Une humanité, un bonheur,affranchis.
Un exil choisi pour un loup solitaire.
J'admirerais la nature à l'envie.
Les pieds dans l'herbe,la tête sous les conifères.
Le ciel étoilé comme seul abri.
La beauté et le silence de la terre.
Je voudrais changer pour cette vie.
Stay Woke.
El Montacir Bensaid
Me trouver une île,un sanctuaire.
Un doux éden de poésie.
Loin des villes tentaculaires.
Je n'y inviterais que les âmes bénies.
Nous erigerions ,ensemble, un totem spectaculaire.
Un phare pour les oubliés, les démunis.
Une nouvelle vie,une communauté vernaculaire.
Ni réseaux, ni robots maudits.
Un havre de paix rudimentaire.
Une humanité, un bonheur,affranchis.
Un exil choisi pour un loup solitaire.
J'admirerais la nature à l'envie.
Les pieds dans l'herbe,la tête sous les conifères.
Le ciel étoilé comme seul abri.
La beauté et le silence de la terre.
Je voudrais changer pour cette vie.
Stay Woke.
El Montacir Bensaid
Le poème « Une Autre Vie » exprime le désir profond de rompre avec la modernité aliénante pour embrasser une existence simple, poétique et solidaire.
L’auteur rêve d’un exil volontaire sur une île-refuge, loin des villes tentaculaires et de la technologie oppressive. Il y imagine une communauté humaine, bienveillante et affranchie des réseaux et des robots. Ce nouvel Eden serait un sanctuaire pour les âmes pures, un phare pour les oubliés, où le bonheur naît de la nature, du silence et du partage.
Le poète évoque une humanité réconciliée avec elle-même, les pieds dans l’herbe et la tête sous les étoiles. Le refrain récurrent, tel un mantra, insiste sur l’aspiration à un monde authentique, sans artifices ni jugement. C’est à la fois un cri d’alerte et un chant d’espérance, porté par un « loup solitaire » qui choisit l’exil non par fuite, mais par fidélité à une vision plus noble de la vie.
Le poète évoque une humanité réconciliée avec elle-même, les pieds dans l’herbe et la tête sous les étoiles. Le refrain récurrent, tel un mantra, insiste sur l’aspiration à un monde authentique, sans artifices ni jugement. C’est à la fois un cri d’alerte et un chant d’espérance, porté par un « loup solitaire » qui choisit l’exil non par fuite, mais par fidélité à une vision plus noble de la vie.