Takaichi, la première — et la Supra
L’accession de Takaichi intervient dans un paysage politique bousculé et un contexte de transition industrielle accélérée. Sa nomination, hautement symbolique, n’efface pas les débats de fond sur la place des femmes dans la vie publique japonaise, mais elle marque un jalon institutionnel majeur. Dans les premiers jours du mandat, la composition d’un cabinet très réduit en femmes a déjà nourri analyses et controverses, révélant la tension entre « moment historique » et continuités idéologiques.
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C’est ici que la Supra apparaît comme un contrepoint narratif. Icône nippone du début des années 1990, la Mk3 2.5GT Twin Turbo (moteur 1JZ-GTE) symbolise une période d’audace technologique et de fierté industrielle. Apprendre que la Première ministre en est propriétaire d’origine, qu’elle l’a gardée plus de deux décennies et qu’elle l’a souvent conduite entre Tokyo et Nara, ajoute une dimension personnelle à un profil politique souvent perçu comme rigoureux. Ce choix d’un « actif affectif »—à rebours de la rotation ostentatoire des véhicules officiels—raconte une fidélité aux objets et, peut-être, à une idée du progrès qui ne renie pas l’héritage.
Dans une époque où les dirigeants sont scrutés jusque dans leurs moindres attributs, la Supra vaut récit. Elle relie la personne à l’histoire industrielle du pays et place, au cœur d’un mandat naissant, une métaphore : tenir la trajectoire dans un virage serré, assumer la modernité sans effacer la mémoire. Le symbole est modeste, mais il parle fort.
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C’est ici que la Supra apparaît comme un contrepoint narratif. Icône nippone du début des années 1990, la Mk3 2.5GT Twin Turbo (moteur 1JZ-GTE) symbolise une période d’audace technologique et de fierté industrielle. Apprendre que la Première ministre en est propriétaire d’origine, qu’elle l’a gardée plus de deux décennies et qu’elle l’a souvent conduite entre Tokyo et Nara, ajoute une dimension personnelle à un profil politique souvent perçu comme rigoureux. Ce choix d’un « actif affectif »—à rebours de la rotation ostentatoire des véhicules officiels—raconte une fidélité aux objets et, peut-être, à une idée du progrès qui ne renie pas l’héritage.
Dans une époque où les dirigeants sont scrutés jusque dans leurs moindres attributs, la Supra vaut récit. Elle relie la personne à l’histoire industrielle du pays et place, au cœur d’un mandat naissant, une métaphore : tenir la trajectoire dans un virage serré, assumer la modernité sans effacer la mémoire. Le symbole est modeste, mais il parle fort.