Sous le ciel étoilé de Salé ou d’Al ahmbra, un oud dialogue avec un saxophone.
Les tapes dans les mains comme des battements de cœur, et la douleur, apprivoisée, devient danse.
Chaque note se transforme en sourire, chaque mélisme devient une promesse :
celle que l’espoir survivra à la nuit, comme une voix de muwashah qui se prolonge jusqu’à l’aube.
Chaque note se transforme en sourire, chaque mélisme devient une promesse :
celle que l’espoir survivra à la nuit, comme une voix de muwashah qui se prolonge jusqu’à l’aube.
Ton sourire devient un phare.
Même quand les tempêtes se déchaînent, il éclaire les autres, leur rappelant que la douleur n’est qu’un passage, un solo de batterie avant le retour du refrain.
Tu es celle qui transforme les couloirs d’un établissement de soins en salons littéraires, les salles d’attente en cafés philosophiques.
Tu invites à débattre, à penser, à rire, comme si chaque échange était un acte de guérison.
Hind, tu as fait de ton combat un poème,
de ta cicatrice une signature, de tes nuits d’insomnie des veilles d’artiste.
Tu es celle qui transforme les couloirs d’un établissement de soins en salons littéraires, les salles d’attente en cafés philosophiques.
Tu invites à débattre, à penser, à rire, comme si chaque échange était un acte de guérison.
Hind, tu as fait de ton combat un poème,
de ta cicatrice une signature, de tes nuits d’insomnie des veilles d’artiste.
Les médecins parlent en chiffres, toi, tu réponds en notes d’espoir.
Les protocoles de traitement deviennent partitions, et tu danses dessus avec l’élégance d’un refrain de jazz.
Ce chant est pour toi, mais aussi pour celles et ceux
qui s’efforce de respirer malgré le poids de l’épreuve.
Pour les corps fatigués qui cherchent encore la lumière, pour les cœurs qui tremblent, pour les yeux qui refusent de s’éteindre.
Ce chant est pour toi, mais aussi pour celles et ceux
qui s’efforce de respirer malgré le poids de l’épreuve.
Pour les corps fatigués qui cherchent encore la lumière, pour les cœurs qui tremblent, pour les yeux qui refusent de s’éteindre.
Hind, tu es leur locomotive
Ton nom, Hind, devient refrain, ton rire devient refrain, ta soif de culture devient refrain.
Et ensemble, ce chœur s’élève, portant les malades au-delà de leurs douleurs,
les ramenant au rivage de la joie.
Hind, souffle de l’aube qui rallume les étoiles,
Dans ton regard renaît la vie, et s’effacent les voiles.
Par Anwar CHERKAOUI
Et ensemble, ce chœur s’élève, portant les malades au-delà de leurs douleurs,
les ramenant au rivage de la joie.
Hind, souffle de l’aube qui rallume les étoiles,
Dans ton regard renaît la vie, et s’effacent les voiles.
Par Anwar CHERKAOUI