Un moteur BMW sous le capot d’une Mercedes ? Le pari inattendu de Stuttgart
Le moteur concerné serait une déclinaison du BMW B48, fabriqué en Autriche et réputé pour sa fiabilité. Mercedes, de son côté, ferait face à des difficultés avec son moteur M252, assemblé en Chine et jugé peu adapté aux hybrides rechargeables.
Ce possible recours à BMW soulève deux lectures. Pour les uns, il s’agit d’une décision pragmatique : sécuriser une technologie éprouvée pour ne pas retarder ses projets. Pour d’autres, c’est un signe de fragilité : Mercedes, symbole d’indépendance, admettrait ses limites techniques.
Contactée, BMW a refusé de commenter. Mais le simple fait que cette hypothèse circule reflète la profondeur des changements dans l’automobile allemande. Une rivalité centenaire pourrait laisser place, ponctuellement ou durablement, à une forme de coopération imposée par les défis environnementaux et la concurrence mondiale, notamment celle des constructeurs chinois.
L’enjeu dépasse la technique. Car derrière chaque moteur, il y a des emplois, des investissements et des équilibres industriels. Si Mercedes s’appuie sur BMW, cela pourrait rebattre les cartes de la suprématie allemande dans le secteur, alors que l’électrification et l’hybridation s’imposent comme des terrains de bataille cruciaux.
Ce possible recours à BMW soulève deux lectures. Pour les uns, il s’agit d’une décision pragmatique : sécuriser une technologie éprouvée pour ne pas retarder ses projets. Pour d’autres, c’est un signe de fragilité : Mercedes, symbole d’indépendance, admettrait ses limites techniques.
Contactée, BMW a refusé de commenter. Mais le simple fait que cette hypothèse circule reflète la profondeur des changements dans l’automobile allemande. Une rivalité centenaire pourrait laisser place, ponctuellement ou durablement, à une forme de coopération imposée par les défis environnementaux et la concurrence mondiale, notamment celle des constructeurs chinois.
L’enjeu dépasse la technique. Car derrière chaque moteur, il y a des emplois, des investissements et des équilibres industriels. Si Mercedes s’appuie sur BMW, cela pourrait rebattre les cartes de la suprématie allemande dans le secteur, alors que l’électrification et l’hybridation s’imposent comme des terrains de bataille cruciaux.