Chez L’ODJ Média, nous n’avons jamais caché notre exigence envers les politiques publiques. Nous savons qu’un pays ne se développe pas sur des slogans, mais sur des actes concrets. Et justement, quand un décret, une initiative ou une réforme avance dans le bon sens – celui de l’efficacité, de l’équité et de l’impact – il est de notre responsabilité, non seulement de l’analyser, mais aussi de le saluer. Aujourd’hui, nous disons bravo.
Un décret vient d’être publié au Maroc, promettant jusqu’à 30 % de prime à l’investissement pour les Très Petites, Petites et Moyennes Entreprises (TPME) qui osent s’installer dans les régions prioritaires et créer de l’emploi stable. Ce n’est pas un gadget fiscal. C’est un levier stratégique, une reconnaissance officielle que le développement économique ne peut plus rester concentré dans les grands centres urbains, et que la valeur se crée aussi – et surtout – là où on ne l’attend pas.
Ce geste n’arrive pas seul. Il s’inscrit dans un momentum plus large où la CGEM, Tamwilcom et la BAD semblent jouer la même partition : celle d’une mobilisation coordonnée autour des TPME, colonne vertébrale de notre économie, souvent invisibles, parfois étouffées, mais toujours résilientes.
Le Carrefour de la TPME, organisé par la CGEM à Bouskoura, en est une parfaite illustration. Loin des grandes messes institutionnelles, cette journée a donné la parole à ceux qui agissent : entrepreneurs de terrain, innovateurs discrets, femmes et hommes de défis. Des masterclass concrètes sur le financement et l’intelligence artificielle ont rappelé que la transformation numérique et l’accès au crédit ne sont plus des luxes, mais des impératifs vitaux pour la survie et la croissance de nos petites structures.
Et puis il y a Tamwilcom, le bras financier de l’État, qui prépare – avec le soutien actif de la Banque Africaine de Développement – le lancement du programme PAFE-EMPLOI. Ce n’est pas une énième promesse. C’est une tentative sérieuse de reconcilier les ambitions économiques avec les besoins sociaux, en créant un pont entre le monde bancaire, les jeunes entrepreneurs et les territoires en mal de dynamisme.
Oui, nous le disons haut et fort : quand cela bouge dans le bon sens, L’ODJ Média est le premier à le reconnaître. Non par complaisance, mais par cohérence éditoriale. Il ne suffit pas de dénoncer les retards ou les impasses ; il faut aussi encourager ce qui marche, amplifier les signaux positifs et stimuler l’élan collectif.
Ce décret est perfectible, comme toute réforme. Mais il a le mérite d’exister, d’être clair, orienté vers l’impact, et soutenu par des acteurs crédibles. À nous, médias, société civile, élus locaux et entrepreneurs, d’en faire un levier de changement concret, pas un texte oublié au Bulletin Officiel.
L’histoire des TPME marocaines est encore à écrire. Ce décret pourrait bien en être le premier chapitre fondateur.
— La Rédaction de L’ODJ Média
Un décret vient d’être publié au Maroc, promettant jusqu’à 30 % de prime à l’investissement pour les Très Petites, Petites et Moyennes Entreprises (TPME) qui osent s’installer dans les régions prioritaires et créer de l’emploi stable. Ce n’est pas un gadget fiscal. C’est un levier stratégique, une reconnaissance officielle que le développement économique ne peut plus rester concentré dans les grands centres urbains, et que la valeur se crée aussi – et surtout – là où on ne l’attend pas.
Ce geste n’arrive pas seul. Il s’inscrit dans un momentum plus large où la CGEM, Tamwilcom et la BAD semblent jouer la même partition : celle d’une mobilisation coordonnée autour des TPME, colonne vertébrale de notre économie, souvent invisibles, parfois étouffées, mais toujours résilientes.
Le Carrefour de la TPME, organisé par la CGEM à Bouskoura, en est une parfaite illustration. Loin des grandes messes institutionnelles, cette journée a donné la parole à ceux qui agissent : entrepreneurs de terrain, innovateurs discrets, femmes et hommes de défis. Des masterclass concrètes sur le financement et l’intelligence artificielle ont rappelé que la transformation numérique et l’accès au crédit ne sont plus des luxes, mais des impératifs vitaux pour la survie et la croissance de nos petites structures.
Et puis il y a Tamwilcom, le bras financier de l’État, qui prépare – avec le soutien actif de la Banque Africaine de Développement – le lancement du programme PAFE-EMPLOI. Ce n’est pas une énième promesse. C’est une tentative sérieuse de reconcilier les ambitions économiques avec les besoins sociaux, en créant un pont entre le monde bancaire, les jeunes entrepreneurs et les territoires en mal de dynamisme.
Oui, nous le disons haut et fort : quand cela bouge dans le bon sens, L’ODJ Média est le premier à le reconnaître. Non par complaisance, mais par cohérence éditoriale. Il ne suffit pas de dénoncer les retards ou les impasses ; il faut aussi encourager ce qui marche, amplifier les signaux positifs et stimuler l’élan collectif.
Ce décret est perfectible, comme toute réforme. Mais il a le mérite d’exister, d’être clair, orienté vers l’impact, et soutenu par des acteurs crédibles. À nous, médias, société civile, élus locaux et entrepreneurs, d’en faire un levier de changement concret, pas un texte oublié au Bulletin Officiel.
L’histoire des TPME marocaines est encore à écrire. Ce décret pourrait bien en être le premier chapitre fondateur.
— La Rédaction de L’ODJ Média