Du 11 au 14 septembre, le Maroc a vibré au rythme du 7e art grâce à la Fête du cinéma, un événement qui a rassemblé près de 60.000 spectateurs dans les salles partenaires à travers le Royaume. Avec un tarif unique de 30 DH la séance, l’objectif était clair : démocratiser l’accès au cinéma et montrer que nos salles ne sont pas juste des lieux de divertissement, mais aussi des espaces de vie culturelle.
Un programme riche et accessible
Pendant ces quatre jours, les cinéphiles comme les novices ont pu profiter d’un programme varié : projections spéciales, rencontres avec des professionnels et animations originales. Les films marocains n’étaient pas en reste, puisque 28 % des entrées concernaient des productions locales, notamment les très remarqués "Ana machi ana" et "My Friend". Ces deux œuvres, qui explorent des thématiques universelles avec une touche locale, ont su séduire un public en quête de récits authentiques.
Pour les organisateurs, ce succès est une preuve que le cinéma au Maroc a un vrai potentiel : “Nous pouvons affirmer que le cinéma au Maroc a son public, et qu’il ne demande qu’à être fidélisé et élargi”, ont-ils déclaré. Avec un tarif accessible, l’événement a attiré des profils variés : familles, amateurs éclairés et même des curieux qui n’avaient pas mis les pieds dans une salle depuis des années.
Zoom sur l’impact solidaire
Au-delà des chiffres et des films, la Fête du cinéma a aussi marqué les esprits par son engagement solidaire. En partenariat avec l’association Yed Najma, plus de 150 enfants issus de milieux défavorisés ont été invités à découvrir la magie du grand écran. Pour beaucoup, c’était une première expérience, et les étoiles dans leurs yeux en disaient long sur l’impact de cette initiative. Cette démarche inclusive rappelle que le cinéma n’est pas seulement une industrie, mais aussi un outil puissant pour créer des ponts et des souvenirs.
Ce qu’en disent les réseaux et la presse
Sur les réseaux sociaux, les réactions étaient unanimes : “Un événement qui rapproche les Marocains de leur patrimoine culturel”, écrit un internaute. Les familles, elles, saluent l’accessibilité du tarif et la diversité des films proposés. Dans la presse, l’événement est qualifié de “belle célébration du cinéma marocain et international”, avec une mention spéciale pour les productions locales qui ont su tirer leur épingle du jeu.
Un programme riche et accessible
Pendant ces quatre jours, les cinéphiles comme les novices ont pu profiter d’un programme varié : projections spéciales, rencontres avec des professionnels et animations originales. Les films marocains n’étaient pas en reste, puisque 28 % des entrées concernaient des productions locales, notamment les très remarqués "Ana machi ana" et "My Friend". Ces deux œuvres, qui explorent des thématiques universelles avec une touche locale, ont su séduire un public en quête de récits authentiques.
Pour les organisateurs, ce succès est une preuve que le cinéma au Maroc a un vrai potentiel : “Nous pouvons affirmer que le cinéma au Maroc a son public, et qu’il ne demande qu’à être fidélisé et élargi”, ont-ils déclaré. Avec un tarif accessible, l’événement a attiré des profils variés : familles, amateurs éclairés et même des curieux qui n’avaient pas mis les pieds dans une salle depuis des années.
Zoom sur l’impact solidaire
Au-delà des chiffres et des films, la Fête du cinéma a aussi marqué les esprits par son engagement solidaire. En partenariat avec l’association Yed Najma, plus de 150 enfants issus de milieux défavorisés ont été invités à découvrir la magie du grand écran. Pour beaucoup, c’était une première expérience, et les étoiles dans leurs yeux en disaient long sur l’impact de cette initiative. Cette démarche inclusive rappelle que le cinéma n’est pas seulement une industrie, mais aussi un outil puissant pour créer des ponts et des souvenirs.
Ce qu’en disent les réseaux et la presse
Sur les réseaux sociaux, les réactions étaient unanimes : “Un événement qui rapproche les Marocains de leur patrimoine culturel”, écrit un internaute. Les familles, elles, saluent l’accessibilité du tarif et la diversité des films proposés. Dans la presse, l’événement est qualifié de “belle célébration du cinéma marocain et international”, avec une mention spéciale pour les productions locales qui ont su tirer leur épingle du jeu.