Livre hybride de Mohamed Ait Bellahcen à feuilleter sans modération ou à télécharger ci-dessous
🌙 Une parution attendue - Boughattat : Quand la nuit prend chair !
Un voyage entre science, religion et mystique sur le phénomène de la paralysie du sommeil
Un nouvel ouvrage vient d’éclairer d’une lumière inédite l’un des phénomènes les plus déroutants de la nuit : la paralysie du sommeil, connue au Maroc sous le nom de Boughattat.
Dans son livre « Boughattat : Quand la Nuit Prend Chair », l’auteur propose une plongée immersive dans un monde où le réel et l’imaginaire se confondent, où la science croise la religion, et où les récits intimes deviennent miroir des peurs collectives.
Un phénomène universel, une interprétation marocaine
La paralysie du sommeil touche des millions de personnes à travers le monde. L’expérience est brutale : l’individu, entre veille et sommeil, se réveille incapable de bouger, souvent avec la sensation d’être écrasé par une force invisible.
Dans la culture marocaine, cette entité a un nom : Boughattat. Elle est perçue tantôt comme une créature démoniaque, tantôt comme une épreuve spirituelle, tantôt comme un simple trouble du corps et de l’esprit.
Un livre hybride : essai, récit et poésie
Ce qui frappe dans cet ouvrage, c’est son mélange des genres :
L’essai documentaire, nourri de sources médicales et de références religieuses. Le récit narratif, donnant voix à des hommes, des femmes et des enfants qui racontent leurs nuits ligotées. La poésie, enfin, qui traverse le livre comme un souffle pour dire l’indicible. Le livre déploie un éventail d’approches :
Les neurosciences expliquent le dérèglement du cerveau entre sommeil paradoxal et éveil. L’islam apporte des récits, des prières et des interprétations spirituelles. La mystique interroge le rôle des rêves, des djinns et des énergies invisibles. La sociologie observe comment ce phénomène touche différemment hommes, femmes, enfants, citadins et ruraux. Au-delà du phénomène, Boughattat interroge nos vies modernes :
Pourquoi nos nuits sont-elles hantées ? Que disent ces visions de notre rapport au corps, au religieux, à la peur ? Et si, au fond, cette épreuve nocturne révélait une vérité plus universelle : la fragilité de l’être humain face à l’invisible ? « Boughattat : Quand la Nuit Prend Chair » s’annonce comme un livre marquant pour les lecteurs marocains et francophones intéressés par la rencontre entre science et tradition.
À la croisée du récit ethnographique et de l’essai littéraire, il ouvre un champ encore peu exploré dans l’édition francophone : celui d’un phénomène universel, raconté avec la profondeur d’une culture singulière.
📖 Boughattat - Quand la Nuit Prend Chair : Disponible gratuitement en version numérique sur le Kiosque de LODJ Média.
Un nouvel ouvrage vient d’éclairer d’une lumière inédite l’un des phénomènes les plus déroutants de la nuit : la paralysie du sommeil, connue au Maroc sous le nom de Boughattat.
Dans son livre « Boughattat : Quand la Nuit Prend Chair », l’auteur propose une plongée immersive dans un monde où le réel et l’imaginaire se confondent, où la science croise la religion, et où les récits intimes deviennent miroir des peurs collectives.
Un phénomène universel, une interprétation marocaine
La paralysie du sommeil touche des millions de personnes à travers le monde. L’expérience est brutale : l’individu, entre veille et sommeil, se réveille incapable de bouger, souvent avec la sensation d’être écrasé par une force invisible.
Dans la culture marocaine, cette entité a un nom : Boughattat. Elle est perçue tantôt comme une créature démoniaque, tantôt comme une épreuve spirituelle, tantôt comme un simple trouble du corps et de l’esprit.
Un livre hybride : essai, récit et poésie
Ce qui frappe dans cet ouvrage, c’est son mélange des genres :
L’essai documentaire, nourri de sources médicales et de références religieuses. Le récit narratif, donnant voix à des hommes, des femmes et des enfants qui racontent leurs nuits ligotées. La poésie, enfin, qui traverse le livre comme un souffle pour dire l’indicible.
Les neurosciences expliquent le dérèglement du cerveau entre sommeil paradoxal et éveil. L’islam apporte des récits, des prières et des interprétations spirituelles. La mystique interroge le rôle des rêves, des djinns et des énergies invisibles. La sociologie observe comment ce phénomène touche différemment hommes, femmes, enfants, citadins et ruraux.
Pourquoi nos nuits sont-elles hantées ? Que disent ces visions de notre rapport au corps, au religieux, à la peur ? Et si, au fond, cette épreuve nocturne révélait une vérité plus universelle : la fragilité de l’être humain face à l’invisible ?
À la croisée du récit ethnographique et de l’essai littéraire, il ouvre un champ encore peu exploré dans l’édition francophone : celui d’un phénomène universel, raconté avec la profondeur d’une culture singulière.
📖 Boughattat - Quand la Nuit Prend Chair : Disponible gratuitement en version numérique sur le Kiosque de LODJ Média.
Poème dédié : Boughattat - بوغطاط : Quand la nuit prend chair !
Dans le silence où la lampe expire,
Sous la couverture, un souffle chavire.
Ni veille, ni rêve, ni mort, ni vie,
Juste l’ombre nue qui s’appesantit.
Elle vient sans bruit, sans mot, sans pas,
Un poids ancien que l’on ne voit pas.
Boughattat, murmure au bord du cri,
Elle s’assoit où le cœur s’oublie.
Elle connaît l’enfant qui veut hurler,
La femme courbée qui n’a su parler.
Elle lit la peur dans chaque pli
Des draps froissés par l’oubli.
Et pourtant…
Dans cette nuit que l’on croyait perdue,
Quelque chose palpite, une lueur ténue.
Un mot murmuré, un regard qui sait,
Une mémoire tissée de paix.
Car dire la peur, c’est la délier,
Nommer l’ombre, c’est la traverser.
Et dans les recoins du cauchemar,
Poussent les graines d’un nouveau départ.
Alors que le jour efface la trace,
Et que le souffle à nouveau s’enlace,
Restent les mots, restes les voix,
De celles et ceux qu’on n’entendait pas.
Sous la couverture, un souffle chavire.
Ni veille, ni rêve, ni mort, ni vie,
Juste l’ombre nue qui s’appesantit.
Elle vient sans bruit, sans mot, sans pas,
Un poids ancien que l’on ne voit pas.
Boughattat, murmure au bord du cri,
Elle s’assoit où le cœur s’oublie.
Elle connaît l’enfant qui veut hurler,
La femme courbée qui n’a su parler.
Elle lit la peur dans chaque pli
Des draps froissés par l’oubli.
Et pourtant…
Dans cette nuit que l’on croyait perdue,
Quelque chose palpite, une lueur ténue.
Un mot murmuré, un regard qui sait,
Une mémoire tissée de paix.
Car dire la peur, c’est la délier,
Nommer l’ombre, c’est la traverser.
Et dans les recoins du cauchemar,
Poussent les graines d’un nouveau départ.
Alors que le jour efface la trace,
Et que le souffle à nouveau s’enlace,
Restent les mots, restes les voix,
De celles et ceux qu’on n’entendait pas.
+ Débat - Podcast : Les chroniqueurs de la Web Radio R212 ont lus attentivement ce Roman :
Qu'est-ce que la Boughattat et comment est-elle décrite ? Comment la Boughattat est-elle interprétée à travers le prisme de la science ? Quelles sont les interprétations traditionnelles et spirituelles de la Boughattat au Maroc ? Comment la Boughattat est-elle vécue différemment entre les hommes et les femmes ? Y a-t-il une différence dans la perception de la Boughattat entre les zones rurales et urbaines ? Comment les enfants sont-ils affectés par la Boughattat et comment leurs expériences sont-elles prises en compte ? Quelles sont les approches de "soin moderne" pour la Boughattat, et comment se marient-elles avec les traditions ? Au-delà d'un simple trouble, que révèle la Boughattat sur la société et l'individu ?
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