Poème, version mise en musique, à écouter de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Sois simplement humain, voilà ton seul empire,
C’est là que tout commence et que tout doit s’écrire
Sous les écrans brillants, la question fut posée,
Au cœur froid des réseaux, la réponse osée.
Carrières de métal, fortunes virtuelles,
Mais les âmes se perdent en quêtes artificielles.
La machine calcule, sans chaleur ni mémoire,
Elle dit notre faille en silence notoire.
Des diplômes s’entassent, des titres s’alignent,
Mais la bonté s’efface, les cœurs se résignent.
Sois simplement humain, voilà ton seul empire,
C’est là que tout commence et que tout doit s’écrire
Dans l’arène des chiffres, où s’épuise la foule,
L’humanité s’effrite et la tendresse s’écroule.
Les algorithmes rois tracent nos itinéraires,
Mais oublient le parfum des gestes ordinaires.
Être bon n’est pas mode, ni rentable, ni rare,
C’est pourtant la clef d’or au destin le plus clair.
Un sourire offert vaut plus qu’un million d’actions,
Il sauve des silences et soigne des passions.
Sois simplement humain, voilà ton seul empire,
C’est là que tout commence et que tout doit s’écrire
La bonté se cultive, elle exige patience,
Un art simple et secret, loin de l’arrogance.
À l’ombre des écrans, brillent des yeux sincères,
Ils portent la lumière que n’ont pas les serveurs.
La sagesse d’hier vit dans nos lendemains,
Si l’on choisit d’aimer, d’être juste et humain.
Alors que l’IA règne en maîtresse de chiffres,
Être bon est un feu que rien ne falsifie.
Sois simplement humain, voilà ton seul empire,
C’est là que tout commence et que tout doit s’écrire
C’est là que tout commence et que tout doit s’écrire
Sous les écrans brillants, la question fut posée,
Au cœur froid des réseaux, la réponse osée.
Carrières de métal, fortunes virtuelles,
Mais les âmes se perdent en quêtes artificielles.
La machine calcule, sans chaleur ni mémoire,
Elle dit notre faille en silence notoire.
Des diplômes s’entassent, des titres s’alignent,
Mais la bonté s’efface, les cœurs se résignent.
Sois simplement humain, voilà ton seul empire,
C’est là que tout commence et que tout doit s’écrire
Dans l’arène des chiffres, où s’épuise la foule,
L’humanité s’effrite et la tendresse s’écroule.
Les algorithmes rois tracent nos itinéraires,
Mais oublient le parfum des gestes ordinaires.
Être bon n’est pas mode, ni rentable, ni rare,
C’est pourtant la clef d’or au destin le plus clair.
Un sourire offert vaut plus qu’un million d’actions,
Il sauve des silences et soigne des passions.
Sois simplement humain, voilà ton seul empire,
C’est là que tout commence et que tout doit s’écrire
La bonté se cultive, elle exige patience,
Un art simple et secret, loin de l’arrogance.
À l’ombre des écrans, brillent des yeux sincères,
Ils portent la lumière que n’ont pas les serveurs.
La sagesse d’hier vit dans nos lendemains,
Si l’on choisit d’aimer, d’être juste et humain.
Alors que l’IA règne en maîtresse de chiffres,
Être bon est un feu que rien ne falsifie.
Sois simplement humain, voilà ton seul empire,
C’est là que tout commence et que tout doit s’écrire
Ce poème raconte une quête très simple : un être humain demande conseil à une intelligence artificielle, là où autrefois il aurait interrogé un sage.
L’IA, froide et rationnelle, répond pourtant avec une vérité brûlante : le seul domaine où l’avenir reste ouvert est celui de l’humanité elle-même. Les douze couplets développent cette idée en opposant deux mondes : celui des diplômes, des chiffres et des machines, saturé et compétitif, et celui de la bonté, rare et précieuse. Le refrain, répété comme une prière, rappelle qu’« être simplement humain » est à la fois une carrière, un empire et une mission. À travers ce contraste, le texte souligne que la valeur la plus inimitable face aux algorithmes n’est pas la technique mais la chaleur humaine. Le poème devient alors une méditation sur l’avenir : dans un univers de données, la vraie rareté, et donc la vraie richesse, reste l’humanité.