12 arrestations
Une cellule terroriste affiliée à Daech, sur le point de mener des attentats d’envergure, a été neutralisée par les forces de sécurité marocaines.
Le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ), en collaboration avec la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), a arrêté douze suspects radicalisés dans plusieurs villes du pays.
Ces individus, âgés de 18 à 40 ans, avaient prêté allégeance à l’organisation et suivaient les directives d’un haut responsable de Daech basé au Sahel.
Le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ), en collaboration avec la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), a arrêté douze suspects radicalisés dans plusieurs villes du pays.
Ces individus, âgés de 18 à 40 ans, avaient prêté allégeance à l’organisation et suivaient les directives d’un haut responsable de Daech basé au Sahel.
Une opération simultanée dans plusieurs villes
L’intervention, menée à l’aube, a ciblé plusieurs localités, dont Casablanca, Fès, Tanger, Laâyoune et Tamesna.
Compte tenu de la dangerosité des suspects, les forces spéciales ont appliqué des mesures de sécurité exceptionnelles.
Des tireurs d’élite ont été déployés, des évacuations de civils ont eu lieu et des grenades assourdissantes ont été utilisées pour éviter toute résistance violente.
Les perquisitions ont révélé des indices accablants : à Tamesna, les forces de l’ordre ont découvert des bonbonnes de gaz modifiées, remplies de clous et de produits chimiques, ainsi qu’un autocuiseur piégé prêt à l’emploi.
Des armes blanches, des devises étrangères et du matériel électronique suspect ont également été saisis.
Compte tenu de la dangerosité des suspects, les forces spéciales ont appliqué des mesures de sécurité exceptionnelles.
Des tireurs d’élite ont été déployés, des évacuations de civils ont eu lieu et des grenades assourdissantes ont été utilisées pour éviter toute résistance violente.
Les perquisitions ont révélé des indices accablants : à Tamesna, les forces de l’ordre ont découvert des bonbonnes de gaz modifiées, remplies de clous et de produits chimiques, ainsi qu’un autocuiseur piégé prêt à l’emploi.
Des armes blanches, des devises étrangères et du matériel électronique suspect ont également été saisis.
Une cellule structurée et directement liée à Daech
Les enquêteurs ont mis en évidence une organisation bien rodée. La cellule suivait une hiérarchie précise avec des « coordonnateurs » transmettant les ordres, des « exécutants » chargés des attaques et une branche de financement recevant des fonds directement de Daech.
Cette structuration rappelle les méthodes utilisées par l’organisation pour exporter le terrorisme hors du Sahel.
Les suspects avaient déjà effectué des repérages et prévu des attaques contre des infrastructures stratégiques, des forces de l’ordre et des cibles étrangères.
Ils avaient également reçu des vidéos d’incitation à l’action, validant leur passage à l’exécution des attentats.
Cette structuration rappelle les méthodes utilisées par l’organisation pour exporter le terrorisme hors du Sahel.
Les suspects avaient déjà effectué des repérages et prévu des attaques contre des infrastructures stratégiques, des forces de l’ordre et des cibles étrangères.
Ils avaient également reçu des vidéos d’incitation à l’action, validant leur passage à l’exécution des attentats.
Une menace persistante pour le Maroc
Cette opération souligne une fois de plus la menace que représente Daech en Afrique, notamment via sa branche sahélienne.
Depuis plusieurs années, le Maroc reste une cible pour ces organisations, qui tentent d’implanter des cellules dormantes sur son territoire.
La DGST avait déjà mis en garde contre cette montée en puissance et continue de collaborer avec ses partenaires internationaux pour contrer ces menaces.
Les douze suspects interpellés sont actuellement en garde à vue dans le cadre d’une enquête judiciaire supervisée par le parquet antiterroriste.
Les investigations se poursuivent pour identifier d’éventuelles ramifications au niveau national et international.
Depuis plusieurs années, le Maroc reste une cible pour ces organisations, qui tentent d’implanter des cellules dormantes sur son territoire.
La DGST avait déjà mis en garde contre cette montée en puissance et continue de collaborer avec ses partenaires internationaux pour contrer ces menaces.
Les douze suspects interpellés sont actuellement en garde à vue dans le cadre d’une enquête judiciaire supervisée par le parquet antiterroriste.
Les investigations se poursuivent pour identifier d’éventuelles ramifications au niveau national et international.