Le burger qui fait tourner les têtes
Oui, vous avez bien lu, presque un sacré billet pour un sandwich.
Le lieu ? Le fameux Asador Aupa, où le chef vénézuélien Bosco Jimene – alias Bdevinkingo, star des réseaux avec plusieurs millions de followers – ne fait pas les choses à moitié.
Chez lui, le burger, ce n’est pas juste un plat, c’est une « expérience de luxe extrême ». Et le prix s’explique par une recette top secret et des ingrédients dignes des plus grands chefs.
Comment on en arrive à ce burger VIP ?
Bosco Jimene a passé huit longues années à peaufiner sa création, voyageant même aux États-Unis pour dénicher les meilleures viandes au monde, le fromage le plus exclusif d’Europe, et concocter une sauce secrète à base d’une eau-de-vie de luxe.
Mais attention, ce burger ne joue pas la carte du bling-bling inutile avec de l’or ou du caviar qui font juste joli sur la photo Instagram. Non, là c’est du sérieux : une alchimie d’ingrédients rares, d’art culinaire poussé, et un concept qui joue la carte du mystère total.
Cerise sur le gâteau (ou tranche de pain ?) : vous ne pouvez même pas aller direct commander ce burger.
Il faut d’abord envoyer une demande au restaurant, qui sélectionne ses clients avec des critères bien gardés.
Seuls les plus chanceux – et riches – seront invités à tester ce sandwich d’un autre monde. Bref, c’est l’exclu ultime. Le resto précise bien que ce n’est pas un caprice mais « le reflet de la vraie valeur » de ce qu’ils proposent. Alors, prêt à mettre votre compte en banque à rude épreuve ?
Le burger le plus cher du monde
Au final, ce burger à 100.000 dirhams, c’est un peu comme la licorne des fast-foods : rare, mythique, et surtout hors de portée.
Une pépite insolite qui fait parler, fait rêver ou fait rire – selon votre humeur et votre compte en banque.
En tout cas, il confirme une tendance de fond dans la gastronomie : le luxe discret qui se veut inaccessible, presque un privilège réservé à une poignée d’élus.
Alors que nous, simples mortels, on continuera à se régaler avec nos keftas ou sandwichs maison, avec le sourire et le goût du vrai.
Morale de l’histoire : le luxe, parfois, c’est surtout un concept… et un sacré coup de buzz !