Migration interne : quatre habitants sur dix ont déménagé, avec un phénomène urbain et féminin dominant
Selon le HCP, 14,7 millions de Marocains ont migré au moins une fois à l’intérieur du pays, soit près de 40 % de la population.
La majorité des mouvements se fait entre villes, traduisant l’attractivité croissante des pôles urbains comme Casablanca, Rabat et Fès, tandis que l’exode rural reste présent mais limité. La migration interne est majoritairement féminine (55,1 %) et reflète des flux structurés, avec des circuits reliant les régions centrales et le Sud.
Ces déplacements façonnent les équilibres territoriaux et économiques du Maroc, concentrant population et opportunités dans les grandes métropoles tout en accentuant les déséquilibres dans les régions moins attractives.
La majorité des mouvements se fait entre villes, traduisant l’attractivité croissante des pôles urbains comme Casablanca, Rabat et Fès, tandis que l’exode rural reste présent mais limité. La migration interne est majoritairement féminine (55,1 %) et reflète des flux structurés, avec des circuits reliant les régions centrales et le Sud.
Ces déplacements façonnent les équilibres territoriaux et économiques du Maroc, concentrant population et opportunités dans les grandes métropoles tout en accentuant les déséquilibres dans les régions moins attractives.