Une étude internationale révèle que plus de 80 % des mélanomes cutanés sont dus à l’exposition aux rayons UV, un risque évitable
Une étude internationale révèle que plus de 80 % des cas de mélanome cutané dans le monde sont liés à l’exposition aux rayons ultraviolets (UV).
En 2022, sur environ 332.000 cas, 267.000 seraient attribuables aux UV, principalement dans des régions comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Europe du Nord et l’Amérique du Nord, où ce pourcentage dépasse 95 %.
Cette augmentation est liée à l’exposition solaire accrue ces dernières décennies, notamment chez les populations à peau claire. Le mélanome cutané, un cancer grave, est généralement évitable par une meilleure protection solaire, un enjeu de santé publique urgent.
En 2022, sur environ 332.000 cas, 267.000 seraient attribuables aux UV, principalement dans des régions comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Europe du Nord et l’Amérique du Nord, où ce pourcentage dépasse 95 %.
Cette augmentation est liée à l’exposition solaire accrue ces dernières décennies, notamment chez les populations à peau claire. Le mélanome cutané, un cancer grave, est généralement évitable par une meilleure protection solaire, un enjeu de santé publique urgent.