Une étude néo-zélandaise révèle que la pratique intensive du rugby augmente le risque de maladies neurodégénératives de 22 %
Une vaste étude menée par l’université d’Auckland a mis en lumière les risques à long terme du rugby sur la santé cérébrale.
En suivant 13 000 anciens joueurs entre 1950 et 2000, les chercheurs ont constaté un risque accru de 22 % de développer des maladies comme Alzheimer ou la démence. Les postes les plus exposés, notamment les arrières, subissent davantage d’impacts répétés.
Ces résultats confirment des observations faites dans d’autres sports de contact comme la boxe ou le MMA. Les experts appellent à réduire les chocs à la tête et à renforcer la prévention pour protéger les joueurs sans altérer la passion du jeu.
En suivant 13 000 anciens joueurs entre 1950 et 2000, les chercheurs ont constaté un risque accru de 22 % de développer des maladies comme Alzheimer ou la démence. Les postes les plus exposés, notamment les arrières, subissent davantage d’impacts répétés.
Ces résultats confirment des observations faites dans d’autres sports de contact comme la boxe ou le MMA. Les experts appellent à réduire les chocs à la tête et à renforcer la prévention pour protéger les joueurs sans altérer la passion du jeu.