Le bénévolat freine le déclin cognitif
Une étude menée sur plus de 30 000 adultes américains révèle que les personnes engagées dans le bénévolat ou l’entraide quotidienne connaissent un déclin cognitif 15 à 20 % plus lent que les autres.
Qu’il s’agisse d’aider un proche ou d’une action associative, ces gestes solidaires stimuleraient les fonctions cérébrales et réduiraient le stress chronique.
Le lien social, le sentiment d’utilité et la reconnaissance joueraient un rôle essentiel dans le maintien de la mémoire et des capacités mentales. Un simple geste d’aide pourrait donc être un véritable allié du bien vieillir.
Qu’il s’agisse d’aider un proche ou d’une action associative, ces gestes solidaires stimuleraient les fonctions cérébrales et réduiraient le stress chronique.
Le lien social, le sentiment d’utilité et la reconnaissance joueraient un rôle essentiel dans le maintien de la mémoire et des capacités mentales. Un simple geste d’aide pourrait donc être un véritable allié du bien vieillir.