Dans un entretien profond accordé à l’émission française Clique X, l’international marocain s’est confié sur son rapport à la spiritualité et sur la place qu’elle occupe dans sa vie :
« Depuis mon enfance, j’ai grandi dans un environnement musulman. Mes parents m’ont appris la prière et la foi. Ces valeurs m’accompagnent depuis toujours, elles font partie de moi », confie-t-il.
Pour le latéral droit du PSG, la prière n’est pas qu’un devoir religieux. C’est un refuge, un moment suspendu entre la pression du monde et la paix du cœur.
« La prière, ce n’est pas une obligation. C’est un dialogue avec Dieu, une respiration. Je me ressource, je demande la force et la clarté. Cela m’aide à rester lucide, même dans les moments difficiles », explique-t-il avec sincérité.
Né à Madrid de parents marocains, Hakimi évoque souvent le rôle essentiel de sa famille dans son parcours, de ses débuts à Getafe jusqu’aux plus grandes scènes du football mondial.
« Mes parents m’ont appris à rester humble, à garder les pieds sur terre, à me rappeler que tout vient de Dieu. C’est ce qui m’a sauvé quand tout allait trop vite », souligne le capitaine des Lions de l’Atlas.
Aujourd’hui, Achraf Hakimi est bien plus qu’un symbole du football marocain. Il est l’un des meilleurs latéraux droits du monde, sixième du Ballon d’Or 2025, et vainqueur de la première Ligue des champions du PSG. Pourtant, derrière les trophées et la gloire, il reste ce jeune homme fidèle à ses racines, à sa prière et à sa gratitude.
« Quand tu es proche de Dieu, tu n’as plus peur de rien. Tu sais que tout arrive pour une raison. »
Un message de foi et de simplicité, à l’image d’un joueur qui ne cesse d’inspirer — sur le terrain comme en dehors.












L'accueil

















