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Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, appelle la CGEM à s’engager pleinement dans le développement de l’apprentissage, soulignant l’importance cruciale de la formation professionnelle pour répondre aux besoins économiques du Maroc.
Formation professionnelle : un levier pour l’économie marocaine
Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, a lancé un appel pressant à la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) pour qu’elle s’implique davantage dans le développement de l’apprentissage. Lors d’un discours prononcé ce lundi, Sekkouri a souligné que la formation professionnelle est un levier essentiel pour répondre aux défis économiques actuels du Royaume.
Selon le ministre, l’apprentissage permet de combler le déficit de compétences sur le marché du travail et de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes. Il a insisté sur la nécessité d’une collaboration étroite entre les secteurs public et privé pour renforcer les dispositifs de formation et les adapter aux besoins des entreprises.
La CGEM, en tant que représentante du secteur privé, joue un rôle clé dans cette dynamique. Sekkouri a exhorté les entreprises à s’engager activement dans des programmes d’apprentissage, en offrant des opportunités de stage et de formation aux jeunes talents.
Cette mobilisation est d’autant plus cruciale que le Maroc fait face à des enjeux majeurs, notamment la digitalisation des métiers et la transition écologique. La formation professionnelle apparaît ainsi comme un outil indispensable pour accompagner ces transformations et garantir la compétitivité des entreprises marocaines.
Le ministre a également annoncé des mesures incitatives pour encourager les entreprises à investir dans l’apprentissage, notamment des avantages fiscaux et un soutien logistique. Ces initiatives visent à créer un écosystème favorable au développement des compétences et à l’émergence d’une main-d’œuvre qualifiée.
En conclusion, l’appel de Sekkouri à la CGEM souligne l’importance stratégique de la formation professionnelle pour l’économie marocaine. Une mobilisation collective est nécessaire pour relever les défis actuels et préparer l’avenir du marché du travail.
Selon le ministre, l’apprentissage permet de combler le déficit de compétences sur le marché du travail et de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes. Il a insisté sur la nécessité d’une collaboration étroite entre les secteurs public et privé pour renforcer les dispositifs de formation et les adapter aux besoins des entreprises.
La CGEM, en tant que représentante du secteur privé, joue un rôle clé dans cette dynamique. Sekkouri a exhorté les entreprises à s’engager activement dans des programmes d’apprentissage, en offrant des opportunités de stage et de formation aux jeunes talents.
Cette mobilisation est d’autant plus cruciale que le Maroc fait face à des enjeux majeurs, notamment la digitalisation des métiers et la transition écologique. La formation professionnelle apparaît ainsi comme un outil indispensable pour accompagner ces transformations et garantir la compétitivité des entreprises marocaines.
Le ministre a également annoncé des mesures incitatives pour encourager les entreprises à investir dans l’apprentissage, notamment des avantages fiscaux et un soutien logistique. Ces initiatives visent à créer un écosystème favorable au développement des compétences et à l’émergence d’une main-d’œuvre qualifiée.
En conclusion, l’appel de Sekkouri à la CGEM souligne l’importance stratégique de la formation professionnelle pour l’économie marocaine. Une mobilisation collective est nécessaire pour relever les défis actuels et préparer l’avenir du marché du travail.












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