Un choix assumé lors d’une session décisive
Une classification technique au cœur du débat
Des réserves sur l’uniformité du barème
La défense de la légalité et de la cohérence
Face à ces critiques, Nabila Rmili a maintenu sa ligne. Pour la maire de Casablanca, dès lors que l’on s’en tient aux critères techniques prévus par la réglementation pour apprécier le niveau d’équipement, la ville relève juridiquement de la première catégorie. Cela ouvre, selon elle, la possibilité légale d’appliquer le plafond de 30 DH par mètre carré, sans distinction interne. Une position assumée, présentée comme un choix de clarté fiscale et de sécurité juridique.
Au-delà du vote, la décision relance un débat plus large sur l’équité territoriale et la fiscalité locale dans la capitale économique. Entre rigueur réglementaire et attentes différenciées des quartiers, Casablanca continue d’avancer sur une ligne de crête, où chaque dirham de taxe raconte aussi une certaine vision de la ville et de son développement.












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