« Ces villes sont dirigées par des radicaux de gauche qui ne savent pas ce qu’ils font », a déclaré Trump, en réponse à une question de journaliste. Le programme actuel prévoit que Seattle accueille quatre matchs de groupes et que le Levi’s Stadium, près de San Francisco, organise cinq matchs de groupes ainsi qu’un seizième de finale.
À ce stade, il reste incertain qu’un changement de sites soit possible. Les préparatifs pour les 11 villes hôtes américaines (Atlanta, Boston, Dallas, Houston, Kansas City, Los Angeles, Miami, New York/New Jersey, Philadelphie, Seattle et San Francisco) sont déjà bien avancés. La compétition se jouera également au Mexique (Mexico, Guadalajara, Monterrey) et au Canada (Vancouver, Toronto).
Trump ne dispose d’aucun pouvoir explicite pour modifier la répartition des matchs, mais il entretient des liens directs avec Gianni Infantino, président de la FIFA. L’organisation a signé des contrats solides avec les villes hôtes, rendant toute annulation juridiquement complexe, même si elle bénéficie généralement d’une large protection légale.
Le gouvernement américain a déjà alloué 625 millions de dollars pour la sécurité de l’événement, une enveloppe distribuée entre les villes en fonction de leurs besoins. Il n’est pas clair si Trump pourrait s’en servir comme levier politique.
Le tirage au sort de cette Coupe du monde élargie à 48 équipes aura lieu le 5 décembre au Kennedy Center de Washington, D.C. Trump a également évoqué des inquiétudes concernant la sécurité dans d’autres villes comme Memphis, Chicago et D.C., ajoutant que des mesures seraient prises si l’une d’elles était jugée « non sûre » pour accueillir des matchs.












L'accueil

















