Une candidature ambitieuse dans un contexte favorable
La décision du Royaume intervient alors que les joueurs marocains brillent actuellement sur la scène internationale, notamment lors du Mondial des clubs en cours. Les performances éclatantes d'Achraf Hakimi avec le PSG, les parades de Yassine Bounou sous les couleurs d’Al Hilal, ou encore l’efficacité de Brahim Diaz avec le Real Madrid témoignent de l’impact croissant des Lions de l’Atlas dans le football mondial.
Marca souligne d’ailleurs un fait marquant : « Il est frappant de constater que le Maroc et l’Espagne, partenaires pour la Coupe du monde 2030, empruntent cette fois des chemins séparés pour organiser le tournoi des clubs. »
Un terrain déjà bien préparé
Le Maroc n’en est pas à son coup d’essai. En plus des trois éditions déjà organisées de la Coupe du monde des clubs, le pays accueillera en 2025 sa deuxième Coupe d’Afrique des Nations, après celle de 1988. Ces événements viennent renforcer son dossier et démontrent un savoir-faire logistique et infrastructurel désormais reconnu à l’échelle internationale.
Organiser le Mondial des clubs 2029 constituerait pour le Royaume un test grandeur nature avant la Coupe du monde 2030, permettant de mettre à l’épreuve ses installations sportives, ses capacités hôtelières et ses infrastructures de transport.
Avec une stratégie clairement définie, une volonté politique affirmée et des atouts organisationnels indéniables, le Maroc se positionne comme un candidat sérieux et crédible dans la course à l’accueil de ce tournoi en pleine montée en puissance.












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