La situation est alarmante : les précipitations des trois derniers mois n'ont pas dépassé 21mm, marquant une chute vertigineuse de 67 % par rapport à une année normale. C'est un signal d'alerte rouge pour la crise hydrique que nous traversons.
Les températures élevées exacerbent cette crise, accélérant l'évaporation et aggravant l'état déjà précaire de nos barrages. Les chiffres sont effarants : les apports en eau aux barrages ont chuté de manière spectaculaire, avec des diminutions alarmantes dans des barrages clés comme Loukous, Moulouya, Sebou, Bouregreg, Oum Rabia, et Tensift.
Nous assistons à une baisse catastrophique de deux tiers par rapport à l'année précédente. Le taux de remplissage des barrages ne dépasse désormais pas 23,5 %, une réduction de 7 % par rapport à l'année dernière, ce qui est un indicateur inquiétant de la crise hydrique qui nous guette.
Face à cette situation critique, M. Baraka a souligné les mesures d'urgence prises, telles que la connexion d'eau entre Sebou et Bouregreg et l'accélération des projets de stations de dessalement d'eau.
Le gouvernement envisage également des mesures drastiques, comme la fermeture des puits illégaux et des coupures d'eau localisées, pour rationaliser la demande en eau et optimiser l'utilisation des ressources restantes. La situation exige une action proactive et une alerte précoce pour gérer l'offre et la demande d'eau, en mettant l'accent sur l'amélioration de l'efficacité hydrique et la réduction du gaspillage.
La priorité absolue est de garantir l'approvisionnement en eau potable pour la population et en eau d'irrigation pour les agriculteurs, afin de préserver la sécurité alimentaire et l'approvisionnement des marchés en produits agricoles.
Cette crise hydrique sans précédent menace non seulement notre sécurité hydrique mais aussi notre sécurité alimentaire.
Les températures élevées exacerbent cette crise, accélérant l'évaporation et aggravant l'état déjà précaire de nos barrages. Les chiffres sont effarants : les apports en eau aux barrages ont chuté de manière spectaculaire, avec des diminutions alarmantes dans des barrages clés comme Loukous, Moulouya, Sebou, Bouregreg, Oum Rabia, et Tensift.
Nous assistons à une baisse catastrophique de deux tiers par rapport à l'année précédente. Le taux de remplissage des barrages ne dépasse désormais pas 23,5 %, une réduction de 7 % par rapport à l'année dernière, ce qui est un indicateur inquiétant de la crise hydrique qui nous guette.
Face à cette situation critique, M. Baraka a souligné les mesures d'urgence prises, telles que la connexion d'eau entre Sebou et Bouregreg et l'accélération des projets de stations de dessalement d'eau.
Le gouvernement envisage également des mesures drastiques, comme la fermeture des puits illégaux et des coupures d'eau localisées, pour rationaliser la demande en eau et optimiser l'utilisation des ressources restantes. La situation exige une action proactive et une alerte précoce pour gérer l'offre et la demande d'eau, en mettant l'accent sur l'amélioration de l'efficacité hydrique et la réduction du gaspillage.
La priorité absolue est de garantir l'approvisionnement en eau potable pour la population et en eau d'irrigation pour les agriculteurs, afin de préserver la sécurité alimentaire et l'approvisionnement des marchés en produits agricoles.
Cette crise hydrique sans précédent menace non seulement notre sécurité hydrique mais aussi notre sécurité alimentaire.