Ce choix thématique invite les participants à reconsidérer notre interaction avec le monde naturel et à réfléchir aux liens qui nous unissent aux autres formes de vie.
Le festival transforme des lieux emblématiques tels que l’Institut français, Dar Souiri, la Skala, et le Bastion Borj Bab Marrakech en galeries éphémères où sont exposées des œuvres photographiques d'une intensité rare. Ces lieux, chargés d'histoire et de culture, offrent un écrin parfait pour ces récits visuels qui ne se contentent pas de présenter des images, mais qui capturent des émotions profondes et des luttes humaines.
Parmi les temps forts du festival, l'exposition «Ralentir» de Brahim Benkirane et Alexandre Chaplier propose une immersion dans les routes oubliées du Maroc. Leurs photographies invitent le public à ralentir et à apprécier chaque instant, transformant chaque détour en une rencontre potentielle riche en histoires.
À Dar Souiri, l'artiste Seif Kousmate présente «Waha», une exploration photographique des oasis du sud marocain. Ses images mettent en lumière la fragilité et la résilience de ces écosystèmes menacés, tout en rendant hommage aux efforts des habitants pour préserver ce patrimoine vital.
Anne-Lise Broyer, avec son œuvre «Est-ce là que l’on habitait ?», propose une relecture de la Méditerranée, loin des clichés touristiques. Ses photographies évoquent une mémoire collective marquée par le passé mais tournée vers la reconstruction.
Joseph Marando, quant à lui, dévoile «Maroc ordinaire», une série de clichés qui documentent la vie quotidienne des Marocains. Son travail rappelle l'importance de se souvenir des histoires des gens ordinaires, souvent oubliées.
Enfin, Reza présente «Deviens le Ciel», une exposition célébrant la spiritualité sous toutes ses formes. Ses œuvres visuelles cherchent à transcender les clivages religieux et philosophiques pour promouvoir la paix et la compréhension mutuelle.
Le festival ne se limite pas aux expositions. Des discussions animées par Nathalie Locatelli, directrice de la Galerie 127, permettent d'explorer la photographie comme outil de mémoire. Des ateliers destinés aux étudiants en arts appliqués témoignent de l'engagement du festival envers l'éducation et l'avenir de cet art.
Le festival transforme des lieux emblématiques tels que l’Institut français, Dar Souiri, la Skala, et le Bastion Borj Bab Marrakech en galeries éphémères où sont exposées des œuvres photographiques d'une intensité rare. Ces lieux, chargés d'histoire et de culture, offrent un écrin parfait pour ces récits visuels qui ne se contentent pas de présenter des images, mais qui capturent des émotions profondes et des luttes humaines.
Parmi les temps forts du festival, l'exposition «Ralentir» de Brahim Benkirane et Alexandre Chaplier propose une immersion dans les routes oubliées du Maroc. Leurs photographies invitent le public à ralentir et à apprécier chaque instant, transformant chaque détour en une rencontre potentielle riche en histoires.
À Dar Souiri, l'artiste Seif Kousmate présente «Waha», une exploration photographique des oasis du sud marocain. Ses images mettent en lumière la fragilité et la résilience de ces écosystèmes menacés, tout en rendant hommage aux efforts des habitants pour préserver ce patrimoine vital.
Anne-Lise Broyer, avec son œuvre «Est-ce là que l’on habitait ?», propose une relecture de la Méditerranée, loin des clichés touristiques. Ses photographies évoquent une mémoire collective marquée par le passé mais tournée vers la reconstruction.
Joseph Marando, quant à lui, dévoile «Maroc ordinaire», une série de clichés qui documentent la vie quotidienne des Marocains. Son travail rappelle l'importance de se souvenir des histoires des gens ordinaires, souvent oubliées.
Enfin, Reza présente «Deviens le Ciel», une exposition célébrant la spiritualité sous toutes ses formes. Ses œuvres visuelles cherchent à transcender les clivages religieux et philosophiques pour promouvoir la paix et la compréhension mutuelle.
Le festival ne se limite pas aux expositions. Des discussions animées par Nathalie Locatelli, directrice de la Galerie 127, permettent d'explorer la photographie comme outil de mémoire. Des ateliers destinés aux étudiants en arts appliqués témoignent de l'engagement du festival envers l'éducation et l'avenir de cet art.












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