Accompagné de Fouzi Lekjaa, président de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF), et de Younes Tazi, wali de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Infantino a découvert un chantier presque achevé, mené à bien dans un temps record.

Ce qui l’a profondément marqué ? Le fait que l’ensemble des rénovations aient été réalisées par des mains marocaines : architectes, ouvriers, ingénieurs, entreprises… Une fierté nationale, visible à chaque recoin du stade.
 

« Ce stade est absolument magnifique. C’est un bijou. Il va devenir le symbole de Tanger, et plus largement, du Maroc moderne et ambitieux », a déclaré Infantino, visiblement ému, dans une vidéo publiée sur la chaîne officielle de la FRMF.

Pour le président de la FIFA, ce stade incarne bien plus qu’un outil sportif. Il est le reflet d’un pays en pleine transformation, capable de relever les plus grands défis, et prêt à accueillir le monde.
 

« C’est un exemple de ce qu’est devenu le Maroc : un grand pays de football, tourné vers l’avenir. Un pays qui impressionne par son sérieux, sa vision et son envie de partager le meilleur avec son peuple et avec le monde entier », a-t-il salué.

Infantino n’a pas manqué de rendre hommage à la vision du Roi Mohammed VI, dont le leadership continue de faire rayonner le Maroc sur la scène internationale à travers le sport, la jeunesse et la modernité.

Le Grand Stade de Tanger ne sera pas seulement un lieu de matches. Il deviendra un symbole de fierté nationale, un espace où se joueront les grandes pages du football africain et mondial, dès la CAN 2025. Mais aussi un lieu où le Maroc racontera au monde son histoire, sa passion et sa capacité à rêver grand.

Cette visite n’était pas qu’un simple passage d’un président de fédération. C’était la reconnaissance d’un projet national, né du travail, du courage et de la volonté de tout un peuple.

Et désormais, Tanger est prête. Le Maroc aussi. Le monde n’a qu’à bien se tenir.