« Même si nous avons gagné, je dois souligner que les terrains sont très en dessous de ce qu’exige une compétition de cette envergure. Le ballon rebondit de façon imprévisible, comme un lapin », a-t-il lancé devant la presse.
Selon lui, le terrain sur lequel évoluait le PSG avait récemment été transformé d’une surface artificielle en pelouse naturelle, mais celle-ci était mal entretenue, arrosée manuellement puis laissée à sécher, rendant le jeu technique extrêmement difficile.
« Ce n’est pas une excuse, mais un véritable problème. Il est impossible d’exprimer notre niveau de jeu sur des terrains pareils. Même les centres d’entraînement devraient avoir de meilleures conditions. Il est urgent de changer cela », a-t-il ajouté.
Ces déclarations interviennent à quelques jours d’un choc très attendu contre l’Inter Miami de Lionel Messi, en huitièmes de finale. Elles mettent en lumière le contraste toujours marqué entre les infrastructures américaines, pourtant en pleine expansion, et les exigences du football européen de haut niveau.












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