Le choix de Bahreïn, classé 80ᵉ au classement FIFA, a suscité des critiques, certains estimant que cette sélection asiatique n’offre pas le profil idéal pour jauger les Lions de l’Atlas. Cependant, Walid Regragui défend ce choix, soulignant la difficulté de trouver une équipe de renom disponible et vantant la discipline et la régularité de l’adversaire asiatique.
Selon lui, cette rencontre permet de travailler les automatismes du groupe, renforcer la confiance des joueurs et maintenir un rythme compétitif sans risque excessif.
Un laboratoire tactique pour peaufiner la CAN
À moins de trois mois du début de la compétition continentale, Regragui utilise ce match pour :
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Expérimenter différents schémas tactiques (4-3-3, 4-2-3-1)
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Tester la profondeur de l’effectif et la cohésion du groupe
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Travailler le pressing haut, les transitions rapides et la possession de balle
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Préparer les joueurs à percer des blocs défensifs bas, comme ceux rencontrés en Afrique
Le milieu défensif Anas Bach, récemment appelé, et des cadres expérimentés côtoient des jeunes talents évoluant à l’étranger, comme Oussama Targhalline du Feyenoord Rotterdam.
Motivation et sérénité dans le groupe
Targhalline assure que l’ambiance est familiale, mais que le groupe reste très appliqué dans le travail. Le gardien El Mehdi Al Harrar insiste sur l’importance de maintenir la dynamique victorieuse et de préparer la suite, notamment le match contre le Congo-Brazzaville, plus physique et proche du profil des adversaires africains.












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