Cette initiative, qui s’inscrit dans une volonté de coopération internationale, a été discutée lors d’une rencontre entre l’ambassadrice marocaine, Bouchra Boudchiche, et les vice-ministres panaméens des Affaires indigènes, Julián Águila, et du Gouvernement, Juan Francisco Borrell. Ce dialogue marque une étape prometteuse vers un partage d’expériences et de bonnes pratiques entre les deux nations.
Le Maroc, riche de son patrimoine amazigh, a beaucoup à offrir dans ce partenariat. À travers l’Institut Royal de la Culture Amazighe (IRCAM), le pays a su développer une approche novatrice pour préserver et promouvoir la culture et les langues amazighes. Cet institut, affilié au gouvernement marocain, joue un rôle clé dans l’enseignement de la langue amazighe dans les écoles publiques et dans la valorisation de cette identité culturelle au sein de la société marocaine. Ce modèle pourrait inspirer le Panama, qui cherche à renforcer l’intégration et la reconnaissance de ses propres communautés autochtones.
De son côté, le Panama possède une diversité culturelle unique grâce à ses territoires indigènes, où les traditions et modes de vie ancestraux sont encore vivants. Les autorités panaméennes, représentées par Julián Águila, ont exprimé leur volonté de placer les peuples autochtones au cœur des priorités nationales. Une collaboration avec le Maroc pourrait non seulement enrichir cette démarche mais aussi permettre au Panama de tirer parti des expériences marocaines en matière de préservation du patrimoine culturel.
Au-delà des aspects culturels, cette coopération pourrait également inclure des échanges sur la médecine traditionnelle autochtone, un domaine où les deux pays possèdent un savoir ancestral précieux. En partageant leurs connaissances et leurs pratiques, le Maroc et le Panama pourraient contribuer à revitaliser ces traditions tout en leur donnant une place dans le monde moderne.
Cependant, ce projet va bien au-delà du simple échange culturel. Il s’agit également d’un acte de résistance face à la mondialisation galopante, qui tend à effacer les spécificités locales au profit d’une culture globalisée. En unissant leurs forces, le Maroc et le Panama montrent qu’il est possible de préserver l’authenticité et la richesse des cultures autochtones tout en s’inscrivant dans une dynamique mondiale.
Le Maroc, riche de son patrimoine amazigh, a beaucoup à offrir dans ce partenariat. À travers l’Institut Royal de la Culture Amazighe (IRCAM), le pays a su développer une approche novatrice pour préserver et promouvoir la culture et les langues amazighes. Cet institut, affilié au gouvernement marocain, joue un rôle clé dans l’enseignement de la langue amazighe dans les écoles publiques et dans la valorisation de cette identité culturelle au sein de la société marocaine. Ce modèle pourrait inspirer le Panama, qui cherche à renforcer l’intégration et la reconnaissance de ses propres communautés autochtones.
De son côté, le Panama possède une diversité culturelle unique grâce à ses territoires indigènes, où les traditions et modes de vie ancestraux sont encore vivants. Les autorités panaméennes, représentées par Julián Águila, ont exprimé leur volonté de placer les peuples autochtones au cœur des priorités nationales. Une collaboration avec le Maroc pourrait non seulement enrichir cette démarche mais aussi permettre au Panama de tirer parti des expériences marocaines en matière de préservation du patrimoine culturel.
Au-delà des aspects culturels, cette coopération pourrait également inclure des échanges sur la médecine traditionnelle autochtone, un domaine où les deux pays possèdent un savoir ancestral précieux. En partageant leurs connaissances et leurs pratiques, le Maroc et le Panama pourraient contribuer à revitaliser ces traditions tout en leur donnant une place dans le monde moderne.
Cependant, ce projet va bien au-delà du simple échange culturel. Il s’agit également d’un acte de résistance face à la mondialisation galopante, qui tend à effacer les spécificités locales au profit d’une culture globalisée. En unissant leurs forces, le Maroc et le Panama montrent qu’il est possible de préserver l’authenticité et la richesse des cultures autochtones tout en s’inscrivant dans une dynamique mondiale.












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