« Nous jouons chaque match pour le gagner. Nous sommes venus en Zambie pour faire un bon match », a réaffirmé Regragui en conférence de presse.
Fort d’un succès éclatant contre le Niger (5-0), le Maroc a sécurisé sa place pour le Mondial 2026 aux États-Unis, au Canada et au Mexique. Mais le sélectionneur ne compte pas lever le pied :
« Nous allons opérer près de 90 % de changements par rapport à l’équipe alignée vendredi. »
Le match contre les Chipolopolo, réputés pour leur combativité et soutenus par un public fervent à Lusaka, constitue un test sérieux. Même sans enjeu direct, une victoire renforcerait l’image d’une sélection en pleine montée en puissance, tout en consolidant sa position de leader du groupe E.
La rencontre sera diffusée sur Arryadia, SSC Sport, Shahid et FIFA+, une preuve de l’intérêt croissant autour d’une sélection qui suscite désormais l’attention bien au-delà des frontières africaines.
Un laboratoire pour la CAN 2025
Regragui voit dans ce match un laboratoire grandeur nature à quelques mois de la CAN :
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Évaluation de nouvelles options tactiques
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Don de temps de jeu à certains joueurs
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Maintien du rythme compétitif
Malgré l’absence d’enjeu comptable, le message est clair : chaque minute compte dans la construction d’un groupe capable de briller sur le double front CAN 2025 – Mondial 2026.
Un Maroc tourné vers 2026… et 2030
Ce déplacement en Zambie s’inscrit dans un projet de long terme. Les Lions de l’Atlas ne veulent pas seulement être performants : ils aspirent à devenir une référence mondiale, à l’image de leur demi-finale historique au Qatar en 2022.
Avec le Mondial 2030 en ligne de mire, que le Maroc co-organisera avec l’Espagne et le Portugal, chaque rencontre devient une étape stratégique dans l’ambition affirmée du royaume de s’imposer durablement parmi les grandes nations du football.












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