C’est dans ce cadre qu’il a été procédé à la signature de conventions de partenariat relatives à ces bassins pour un coût global de 2,042 milliards de dirhams
Mr Baraka a annoncé l’accélération du rythme de construction des grands et petits barrages et des lacs et retenues collinaires, selon une approche participative entre les secteurs concernés pour garantir la pérennité et la valorisation de ces projets.
Il sera également procédé à l’interconnexion des systèmes hydrauliques entre les bassins, pour assurer une gestion intégrée et efficace des ressources en eau de nature à réduire les disparités spatiales.
Pour les projets de dessalement de l’eau de mer, ils se feront, autant que faire se peut, en ayant recours aux énergies renouvelables, pour réduire le coût du mètre cube d’eau dessalée.
Dans un souci de préservation des réserves stratégiques d’eau souterraine, il sera procédé à la mise en œuvre d’une gestion durable et participative qui sera accélérée dans le cadre de contrats de nappes.
D’autre part, le ministère s’attèle actuellement à la révision du projet du Plan National de l’Eau, à la lumière des recommandations du nouveau modèle de développement et du programme gouvernemental, dans un cadre participatif avec les différents secteurs concernés et les représentations des citoyens aux niveaux provincial, régional et national. L’objectif étant d’élaborer un cadre de référence pour la politique nationale de l’eau couvrant les 30 prochaines années.