« Nous espérons que chacune de nos 16 villes hôtes sera prête à accueillir avec succès les événements et à remplir toutes les conditions requises », a déclaré un porte-parole de l’instance, précisant que ce commentaire inclut également le Canada et le Mexique, co-organisateurs du tournoi.
La FIFA a rappelé que la sécurité et la sûreté sont des priorités pour tout événement organisé par l’instance et relèvent de la responsabilité des gouvernements locaux : « Ce sont eux qui décident de ce qui est dans l’intérêt de la sécurité publique ».
Ces déclarations font suite aux propos tenus mardi par Donald Trump, qui avait affirmé qu’il contacterait le président de la FIFA, Gianni Infantino, pour délocaliser un match si nécessaire :
« Si quelqu’un fait du mauvais travail et que je pense qu’il y a un problème de sécurité, j’appellerai Gianni… et je dirai : déplaçons-le vers un autre endroit. Et il le fera très facilement. »
Trump visait alors certaines villes américaines dirigées par des maires démocrates, telles que Chicago, San Francisco, Seattle et Los Angeles, en les menaçant de les priver d’événements sportifs si la sécurité était jugée insuffisante.
Pour rappel, 11 villes américaines accueilleront des matches du Mondial (11 juin – 19 juillet 2026) :
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Boston : 7 rencontres
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San Francisco et Seattle : 6 rencontres chacune
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Los Angeles : 8 rencontres
Malgré la rhétorique de Trump et le déploiement récent de la Garde nationale dans certaines villes, aucune des agglomérations concernées n’est confrontée à des émeutes généralisées ni à une violence hors de contrôle, selon les autorités locales.
La FIFA reste donc prudente mais confiante, soulignant l’importance d’une préparation optimale des villes hôtes pour garantir le succès de la compétition.












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