Une recherche Google, un faux lien, un salaire envolé…
Cette attaque de type phishing sponsorisé marque une évolution inquiétante du piratage informatique : les hackers n’infiltrent plus les réseaux internes ni les boîtes mail, ils détournent les comportements numériques les plus banals – ici, une simple recherche Google. Leur stratégie est redoutable de simplicité et d'efficacité : profiter du manque de vigilance des salariés sur mobile, où l’interface réduit la visibilité des URLs complètes, et exploiter les liens publicitaires pour placer en haut de page leurs pièges numériques.
Au cœur de cette nouvelle vague de fraudes : les portails RH de grandes entreprises, devenus des cibles de choix en raison des données sensibles qu’ils hébergent. Le fait que l’attaque passe par des liens sponsorisés Google interroge aussi sur la responsabilité des plateformes numériques et la régulation des contenus sponsorisés.
Cette affaire, révélée fin mai 2025, soulève une alerte sérieuse pour les entreprises : la cybersécurité RH ne se limite plus aux firewalls et aux antivirus. Elle passe désormais par une vigilance accrue sur l'expérience utilisateur mobile, la sécurisation des connexions, la sensibilisation du personnel, et surtout, la surveillance proactive du référencement de leurs outils sur les moteurs de recherche.
Pour les salariés, c’est un rappel brutal : la précipitation numérique coûte cher. Un lien peut avoir l’air professionnel, une page peut ressembler à s’y méprendre à l’original, mais derrière se cache parfois un voleur. Et dans ce cas, ce sont les salaires – parfois l’unique source de revenus – qui s’évaporent dans la nature numérique. Une attaque rapide, invisible, mais aux conséquences bien réelles.
Au cœur de cette nouvelle vague de fraudes : les portails RH de grandes entreprises, devenus des cibles de choix en raison des données sensibles qu’ils hébergent. Le fait que l’attaque passe par des liens sponsorisés Google interroge aussi sur la responsabilité des plateformes numériques et la régulation des contenus sponsorisés.
Cette affaire, révélée fin mai 2025, soulève une alerte sérieuse pour les entreprises : la cybersécurité RH ne se limite plus aux firewalls et aux antivirus. Elle passe désormais par une vigilance accrue sur l'expérience utilisateur mobile, la sécurisation des connexions, la sensibilisation du personnel, et surtout, la surveillance proactive du référencement de leurs outils sur les moteurs de recherche.
Pour les salariés, c’est un rappel brutal : la précipitation numérique coûte cher. Un lien peut avoir l’air professionnel, une page peut ressembler à s’y méprendre à l’original, mais derrière se cache parfois un voleur. Et dans ce cas, ce sont les salaires – parfois l’unique source de revenus – qui s’évaporent dans la nature numérique. Une attaque rapide, invisible, mais aux conséquences bien réelles.