Il sera rejoint en finale par son compatriote Salahdine Benyazid, vainqueur de sa course avec le deuxième meilleur temps global (8:27.21).
« L’essentiel était de garder de l’énergie pour la finale », a expliqué El Bakkali à l’AFP, soulignant sa stratégie de contrôle du rythme malgré quelques chutes dans le peloton. Déjà sacré à Eugene 2022, Budapest 2023, ainsi qu’Olympique à Tokyo 2020 et Paris 2024, le natif de Fès reste le grand favori, mais devra se méfier de l’Éthiopien Lamecha Girma, détenteur du record du monde et arrivé à moins d’une seconde derrière lui.












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