“OpenAI, sois plus intelligente !”
"Oui, j’utilise ChatGPT. Mais je souffre." Cette phrase, que beaucoup d’usagers murmurent à demi-mot en scrollant nerveusement les options proposées par leur assistant virtuel, pourrait bien devenir le slogan officieux de l’année. Car s’il y a une chose que l’intelligence artificielle ne semble pas encore avoir complètement comprise, c’est que l’intelligence, la vraie, commence par la simplicité.
Entre les modèles GPT-3.5, GPT-4, GPT-4o, les "classic", les "pro", les expérimentaux, les assistants personnalisés, les extensions tierces, les chats mémorisés, ceux non-mémorisés… même un ingénieur de la NASA s’y perdrait. Pourtant, cette IA est censée aider l’utilisateur. Lui rendre la vie plus fluide. Mais ces derniers mois, l’impression générale, c’est celle d’un GPS dont la voix se superpose, en criant dans toutes les langues, sans choisir de route.
L’ironie de la situation est flagrante : nous avons conçu des IA qui lisent des livres entiers en une seconde, qui composent des symphonies, qui débusquent des cancers invisibles à l’œil humain, mais qui ne savent pas garder un menu clair pour l’utilisateur lambda. Et si personne ne vous l’a dit, chers concepteurs d’OpenAI : l’expérience utilisateur, c’est la vraie frontière entre le génie et l’oubli.
Heureusement, GPT-5 pourrait sonner l’heure du changement. Ce modèle annoncé comme “unifié” serait une tentative de tout rassembler : le texte, l’image, le code, l’audio, les plugins, les souvenirs, les réponses rapides, les suggestions intelligentes… le tout dans un seul assistant vraiment intelligent, capable de comprendre que parfois, le meilleur service, c’est de se taire et de proposer trois boutons bien pensés.
Il ne faut pas se méprendre : nous aimons l’IA. Elle nous accompagne, nous stimule, nous fascine. Mais parfois, elle nous épuise. Vouloir tout faire à la fois, c’est souvent ne plus rien faire simplement. Il est temps de revenir à l’essentiel. À un outil qui comprend que l’utilisateur n’a pas besoin de savoir s’il utilise GPT-3.5 turbo+, GPT-4o fusion ou un cousin de Claude AI. Il veut que ça marche. Point.
Entre les modèles GPT-3.5, GPT-4, GPT-4o, les "classic", les "pro", les expérimentaux, les assistants personnalisés, les extensions tierces, les chats mémorisés, ceux non-mémorisés… même un ingénieur de la NASA s’y perdrait. Pourtant, cette IA est censée aider l’utilisateur. Lui rendre la vie plus fluide. Mais ces derniers mois, l’impression générale, c’est celle d’un GPS dont la voix se superpose, en criant dans toutes les langues, sans choisir de route.
L’ironie de la situation est flagrante : nous avons conçu des IA qui lisent des livres entiers en une seconde, qui composent des symphonies, qui débusquent des cancers invisibles à l’œil humain, mais qui ne savent pas garder un menu clair pour l’utilisateur lambda. Et si personne ne vous l’a dit, chers concepteurs d’OpenAI : l’expérience utilisateur, c’est la vraie frontière entre le génie et l’oubli.
Heureusement, GPT-5 pourrait sonner l’heure du changement. Ce modèle annoncé comme “unifié” serait une tentative de tout rassembler : le texte, l’image, le code, l’audio, les plugins, les souvenirs, les réponses rapides, les suggestions intelligentes… le tout dans un seul assistant vraiment intelligent, capable de comprendre que parfois, le meilleur service, c’est de se taire et de proposer trois boutons bien pensés.
Il ne faut pas se méprendre : nous aimons l’IA. Elle nous accompagne, nous stimule, nous fascine. Mais parfois, elle nous épuise. Vouloir tout faire à la fois, c’est souvent ne plus rien faire simplement. Il est temps de revenir à l’essentiel. À un outil qui comprend que l’utilisateur n’a pas besoin de savoir s’il utilise GPT-3.5 turbo+, GPT-4o fusion ou un cousin de Claude AI. Il veut que ça marche. Point.
GPT-5, le pari de la clarté ? OpenAI promet un modèle unifié pour nous simplifier la vie. Il était temps.
Avec GPT-5, OpenAI promet donc un modèle universel. Moins de versions, moins de complications. Une interface unifiée, une mémoire plus intelligente, et surtout une capacité à comprendre l’intention sans harceler l’usager de boutons, pop-ups et "voulez-vous dire... ?"
Ce serait un soulagement. Parce que derrière les écrans, il y a nous. Des humains qui veulent créer, écrire, résoudre, rire. Pas configurer un satellite à chaque fois qu’on veut générer une recette de cuisine.
Ce serait un soulagement. Parce que derrière les écrans, il y a nous. Des humains qui veulent créer, écrire, résoudre, rire. Pas configurer un satellite à chaque fois qu’on veut générer une recette de cuisine.