Ce mercredi, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé que le comité d'urgence sur le Mpox (variole du singe) se réunira "dès que possible". L'OMS souhaite rapidement évaluer s'il est nécessaire de qualifier l'épidémie d'urgence internationale, le niveau d'alerte le plus élevé qu'elle puisse décréter. Elle craint une propagation accrue du virus, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du continent africain.
L'épidémie sévit déjà depuis plusieurs mois en République démocratique du Congo, avec plus de 11 000 cas signalés et près de 450 décès. Selon les chercheurs locaux, le taux de mortalité peut atteindre jusqu'à 10 % chez les enfants.
Le virus commence à franchir les frontières. L'Agence de santé de l'Union africaine, Africa CDC, a enregistré 146 cas au Congo-Brazzaville et 227 en République centrafricaine. Le Cameroun, le Nigeria, l'Afrique du Sud et le Rwanda sont également touchés.
Cette situation préoccupe vivement l'OMS, qui affirme intensifier ses efforts pour stopper la propagation du virus. Cependant, pour apporter une réponse globale, davantage de financements et de soutien sont nécessaires, a souligné le directeur de l'OMS.
L'épidémie sévit déjà depuis plusieurs mois en République démocratique du Congo, avec plus de 11 000 cas signalés et près de 450 décès. Selon les chercheurs locaux, le taux de mortalité peut atteindre jusqu'à 10 % chez les enfants.
Le virus commence à franchir les frontières. L'Agence de santé de l'Union africaine, Africa CDC, a enregistré 146 cas au Congo-Brazzaville et 227 en République centrafricaine. Le Cameroun, le Nigeria, l'Afrique du Sud et le Rwanda sont également touchés.
Cette situation préoccupe vivement l'OMS, qui affirme intensifier ses efforts pour stopper la propagation du virus. Cependant, pour apporter une réponse globale, davantage de financements et de soutien sont nécessaires, a souligné le directeur de l'OMS.