Dans son livre “Sex et mensonges : la vie sexuelle au Maroc”, Leila Slimani, journaliste et femme de lettres franco-marocaine, explique que la société marocaine est une société comme les autres concernant les pratiques sexuelles mais que les lois qu’elle definit comme liberticides sont extrêmement dures, en pratique des lois totalement innaplicables et souvent innapliqués, elle explique que la société marocaine applique une charge de honte et de morale tres dure sur tout ceux qui sortent de la norme en l’occurence, les homosexuels, les travailleurs de sex et de maniere generale sur les femmes qui menent une vie sexuelle libre et qui assument. 
 

La problématique se trouve être le fait que les pouvoirs publics et tous les acteurs de la culture institutionnelle vous disent en gros faites ce que vous voulez, mais faites le en cachette. 
 

La religion, quant à elle, pèse très gros dans cette problématique puisque tout est question de religion et que la religion interdit formellement la pratique de relations sexuelles hors mariage, et ce, malgré le fait que les droits de la femme aient évoluer au Maroc. En effet, en 2004, il y a eu une très grande réforme du code de la famille, un pas qui prouve que l’on peut exercer sa religion avec tout le respect et toute la spiritualité que ça demande tout en s’adaptant aux évolutions de la société.