Dans cet intervalle, Annajah atterrit au Maroc avec un cabinet de conseil spécialisé hydrogène, adossé à un investisseur local (non dévoilé). Objectif déclaré: capitaliser sur le capital réputationnel accumulé, se positionner sur la phase d’études stratégiques alors que le Royaume affine ses feuilles de route H2 vert (ammoniac, fertilisants, e‑fuels) et cherche à structurer des normes d’approvisionnement, de certification et de logistique portuaire. Le cabinet entend offrir: structuration de projets pilotes, analyse techno‑économique (LCOH, CAPEX électrolyseurs), scénarios de localisation (ressource solaire/éolienne, accès eau dessalée), montage partenarial et storytelling d’innovation souveraine.

Cette transition opportuniste soulève deux lectures:

Réduction de risque: générer des revenus de conseil moins capitalistiques qu’une filière automobile intégrée.
Maintien d’option: conserver la marque NamX vivante dans l’écosystème, en attendant une éventuelle fenêtre de financement hardware.

Reste l’enjeu de crédibilité: convertir un narratif produit encore embryonnaire en expertise méthodologique exige de démontrer références, équipe technique et rigueur dans un secteur où due diligence et bancabilité dominent désormais le discours.