"Doudna sera opérationnel dès 2026 et utilisera les technologies les plus avancées de NVIDIA, le leader mondial des semi-conducteurs", a déclaré Chris Wright, le secrétaire à l'Énergie américain. "C'est un investissement stratégique pour stimuler l'innovation et la compétitivité de notre pays dans des domaines clés comme l'IA, la physique des particules ou la modélisation climatique."

En effet, les supercalculateurs sont devenus des outils indispensables pour mener des recherches de pointe et résoudre des problèmes complexes à grande échelle. Leur puissance de calcul permet d'accélérer considérablement les simulations, les analyses de données et les processus d'apprentissage automatique.

Avec Doudna, les États-Unis entendent ainsi affirmer leur leadership dans la course mondiale aux supercalculateurs les plus performants. Un enjeu géopolitique majeur, alors que la Chine et l'Europe investissent massivement dans ce domaine.

"Ce projet incarne notre volonté de rester à la pointe de l'innovation technologique et de placer la recherche scientifique au cœur de notre stratégie de développement", a conclu le secrétaire à l'Énergie.