Ce n’est pas une prévision.
C’est un objectif fixé et qui est réalisable. Et il semblerait que les décideurs dans notre pays aient les outils pour l’atteindre. Le nouveau modèle de développement oblige, des solutions innovantes s’imposent.
Aujourd’hui, mercredi 2 juin 2021, les doyens de toutes les facultés de Médecine et de pharmacie du Royaume, se réunissent à Rabat avec un seul point à l’ordre du jour :
Réalisation d’une petite révolution dans la durée de formation du médecin marocain.
La formation d’un médecin généraliste nécessite 7 ans d’étude et de stages pratiques. Et le Maroc forme jusqu’à présent environ 3200 médecins chaque année.
L’ordre du jour des doyens des facultés de médecine est de réduire la durée de formation à 6 ans, comme c’est le cas en France.
L’objectif escompté est qu’à l’horizon 2022-2023, environ 6400 médecins seront fonctionnels pour participer activement à l’élargissement de la couverture médicale universelle pour tous les marocains.
Dr Anwar CHERKAOUI
C’est un objectif fixé et qui est réalisable. Et il semblerait que les décideurs dans notre pays aient les outils pour l’atteindre. Le nouveau modèle de développement oblige, des solutions innovantes s’imposent.
Aujourd’hui, mercredi 2 juin 2021, les doyens de toutes les facultés de Médecine et de pharmacie du Royaume, se réunissent à Rabat avec un seul point à l’ordre du jour :
Réalisation d’une petite révolution dans la durée de formation du médecin marocain.
La formation d’un médecin généraliste nécessite 7 ans d’étude et de stages pratiques. Et le Maroc forme jusqu’à présent environ 3200 médecins chaque année.
L’ordre du jour des doyens des facultés de médecine est de réduire la durée de formation à 6 ans, comme c’est le cas en France.
L’objectif escompté est qu’à l’horizon 2022-2023, environ 6400 médecins seront fonctionnels pour participer activement à l’élargissement de la couverture médicale universelle pour tous les marocains.
Dr Anwar CHERKAOUI