Samedi soir, la salle de cinéma Alcázar à Tanger s'est transformée en passerelle culturelle entre le Maroc et les États-Unis. La projection du documentaire "A Thousand and One Berber Nights" de Hisham Aidi a captivé le public, suivi d’un échange enrichissant avec le réalisateur. Ce film de 53 minutes explore l'identité amazighe marocaine aux États-Unis à travers la musique et l'art, tissant des liens inattendus avec des artistes afro-américains.
Le documentaire suit Hassan Ouakrim, un artiste de Tafraout, dans son périple de Tanger à New York. Il met en lumière ses rencontres avec des figures emblématiques comme Ellen Stewart et les légendes du jazz Ornette Coleman et Randy Weston. En retraçant l’évolution de la musique marocaine sur le sol américain, le film révèle un pan méconnu de l’émigration marocaine, où l’art et la culture deviennent des ambassadeurs du Royaume. Aidi souligne que le Maroc a toujours été une puissance culturelle influente, même aux États-Unis, depuis le XIXe siècle.
Les spectateurs ont été séduits par l’approche unique du documentaire. "C’est comme si Nass El Ghiwane jammait avec Miles Davis", plaisante un cinéphile. La presse locale et les réseaux sociaux saluent la profondeur du film et sa capacité à créer des ponts culturels. Soukaina Bourziki, responsable de la programmation au Cinéma Alcázar, affirme que ce type de projection enrichit la scène culturelle tangéroise.
"A Thousand and One Berber Nights" est donc un voyage à ne pas manquer pour les amoureux de la culture et de la musique. Ce documentaire offre un regard neuf sur l’identité marocaine et ses résonances internationales. Un film à voir absolument pour comprendre la richesse des échanges culturels entre le Maroc et les États-Unis.
Le documentaire suit Hassan Ouakrim, un artiste de Tafraout, dans son périple de Tanger à New York. Il met en lumière ses rencontres avec des figures emblématiques comme Ellen Stewart et les légendes du jazz Ornette Coleman et Randy Weston. En retraçant l’évolution de la musique marocaine sur le sol américain, le film révèle un pan méconnu de l’émigration marocaine, où l’art et la culture deviennent des ambassadeurs du Royaume. Aidi souligne que le Maroc a toujours été une puissance culturelle influente, même aux États-Unis, depuis le XIXe siècle.
Les spectateurs ont été séduits par l’approche unique du documentaire. "C’est comme si Nass El Ghiwane jammait avec Miles Davis", plaisante un cinéphile. La presse locale et les réseaux sociaux saluent la profondeur du film et sa capacité à créer des ponts culturels. Soukaina Bourziki, responsable de la programmation au Cinéma Alcázar, affirme que ce type de projection enrichit la scène culturelle tangéroise.
"A Thousand and One Berber Nights" est donc un voyage à ne pas manquer pour les amoureux de la culture et de la musique. Ce documentaire offre un regard neuf sur l’identité marocaine et ses résonances internationales. Un film à voir absolument pour comprendre la richesse des échanges culturels entre le Maroc et les États-Unis.












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